DOI issue:
Recueil des machines approuvées par l'académie royale des sciences
DOI article:No. 361
DOI Page / Citation link: https://doi.org/10.11588/diglit.30639#0018
g Recueil des Machines
——— vis-à-vis l’autre, comme on le voit dans la seconde fi-
1732. gure.
L’impériale P QRM N O , se plie & se loge dans le
-——-— dossier S, qui pour cet esset s’ouvre en dedans du phaé-
ton comme un porte-feuilie. Voici la constru&ion de
cette impériale.
Deux équerres ROPMNO, portent simpériale, qui
est detast'etas; ces deux équerres sont paralieies lorsque
i’impériaie est montée ; & lorsqu’on la veut démonter
pour la remetre dans le dossier , les deux équerres se re~
pÜent stune sur i’autre, ensor-te que les côtés & i’impé-
riale ne font plus qu’un même pian qui se peut ioger
dans ie dossier ; car ies côtésMN, QP, ne saillent sur
îe phaéton qu’environ de ia iargeur du dossier, ces mê-
mes côtés devant loger dans cette largeur.
Les extrêmités inférieures des montans des équerres
qui portent i’impériale, sont attachées à des bandes de
cuir qui se roulent sur un store renfermé dans la capa-
cité du dossier. Lorsque l’impériale est logée dans le dos-
sier, ies bandes de cuir sont déroulées de dessus le store ,
& ce store est bandé de toute saforce;& par lemoyen
d’une cîfeviiie qui passe à travers du coffre du siege du
phaéton, on ie retient dans le dossier. Lorsque l’on veut
ie sortir du dossier pour le monter, on tire ia cheviiie
qui i’arrêtoit dans le dossier; pour lors les bandes se
roulant dessus le store, font remonter l’impériale au-des
susdu dossier.
Etant ainsi remontée, on déplie les deux côtés des
équerres pour les remettre paralleles ; & i’on met une
verge de fer à l’endroit M P, pour tenir l’impériale dans
l’état où Fon la voit.
Voici queiques inconvéniens qui se trouvent dans cet
dquipage.
i°. Le souffiet, ou la partie du devant de la chaise
étant renversée} ie cheval de brancard se trouve extrê^
——— vis-à-vis l’autre, comme on le voit dans la seconde fi-
1732. gure.
L’impériale P QRM N O , se plie & se loge dans le
-——-— dossier S, qui pour cet esset s’ouvre en dedans du phaé-
ton comme un porte-feuilie. Voici la constru&ion de
cette impériale.
Deux équerres ROPMNO, portent simpériale, qui
est detast'etas; ces deux équerres sont paralieies lorsque
i’impériaie est montée ; & lorsqu’on la veut démonter
pour la remetre dans le dossier , les deux équerres se re~
pÜent stune sur i’autre, ensor-te que les côtés & i’impé-
riale ne font plus qu’un même pian qui se peut ioger
dans ie dossier ; car ies côtésMN, QP, ne saillent sur
îe phaéton qu’environ de ia iargeur du dossier, ces mê-
mes côtés devant loger dans cette largeur.
Les extrêmités inférieures des montans des équerres
qui portent i’impériale, sont attachées à des bandes de
cuir qui se roulent sur un store renfermé dans la capa-
cité du dossier. Lorsque l’impériale est logée dans le dos-
sier, ies bandes de cuir sont déroulées de dessus le store ,
& ce store est bandé de toute saforce;& par lemoyen
d’une cîfeviiie qui passe à travers du coffre du siege du
phaéton, on ie retient dans le dossier. Lorsque l’on veut
ie sortir du dossier pour le monter, on tire ia cheviiie
qui i’arrêtoit dans le dossier; pour lors les bandes se
roulant dessus le store, font remonter l’impériale au-des
susdu dossier.
Etant ainsi remontée, on déplie les deux côtés des
équerres pour les remettre paralleles ; & i’on met une
verge de fer à l’endroit M P, pour tenir l’impériale dans
l’état où Fon la voit.
Voici queiques inconvéniens qui se trouvent dans cet
dquipage.
i°. Le souffiet, ou la partie du devant de la chaise
étant renversée} ie cheval de brancard se trouve extrê^