Recueil des Machines, 121
M A C H I N E
POUR FAIRE MOUVOIR
DES SOUFFLETS DE FORGE,
INVENTÉE
P A R M. T E R A L.
CEtte machine consille en une roue de chan AB 9
menée par des leviers ausquels sont attelés des che~
vaux; cette rouemene une lanterne C, à l’arbre delaquelle
est une seconde lanterne de même diametre que la pre-
miere ; cette lanterne D fait tourner une roue moyenne E,
dontl’arbreportedes mentonnets à rouleauxF, lesqueîs en
circulant attrapent successivement l’extrêmité G du levier
GHI mobiie au point I. Le dessus du soufflet LN est atta-
ché à ce levier par la chaîne HL , qui tire de haut en»bas
lorsque le levier est rencontré par les mentonnets F, ce qui
sert à comprimer le vent, & à le chasser dans le canon N.
L’aspiration se fait par le moyen d’un second levier O P R
mobile au point P, ôt chargé d’un poids à Pextiômité R ,
de sorte qu’aussitôt que l’un des mentonnets alâché le levier
inférieur GI, le levier supérieur OR agit, ôt fait aspirer
ce soufflet, qui est comprimé ensuite à la rencontre du
premier mentonnet. La premiere solive S est pour soutenir
le levier supérieur ; & la seconde T est pour terminer le
chemin du même levier,
Rec, des Machines»
Tome VI, Q
M A C H I N E
POUR FAIRE MOUVOIR
DES SOUFFLETS DE FORGE,
INVENTÉE
P A R M. T E R A L.
CEtte machine consille en une roue de chan AB 9
menée par des leviers ausquels sont attelés des che~
vaux; cette rouemene une lanterne C, à l’arbre delaquelle
est une seconde lanterne de même diametre que la pre-
miere ; cette lanterne D fait tourner une roue moyenne E,
dontl’arbreportedes mentonnets à rouleauxF, lesqueîs en
circulant attrapent successivement l’extrêmité G du levier
GHI mobiie au point I. Le dessus du soufflet LN est atta-
ché à ce levier par la chaîne HL , qui tire de haut en»bas
lorsque le levier est rencontré par les mentonnets F, ce qui
sert à comprimer le vent, & à le chasser dans le canon N.
L’aspiration se fait par le moyen d’un second levier O P R
mobile au point P, ôt chargé d’un poids à Pextiômité R ,
de sorte qu’aussitôt que l’un des mentonnets alâché le levier
inférieur GI, le levier supérieur OR agit, ôt fait aspirer
ce soufflet, qui est comprimé ensuite à la rencontre du
premier mentonnet. La premiere solive S est pour soutenir
le levier supérieur ; & la seconde T est pour terminer le
chemin du même levier,
Rec, des Machines»
Tome VI, Q