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Recueil des machines approuvées par l'académie royale des sciences inventée par
DOI article:No. 397
DOI Page / Citation link: https://doi.org/10.11588/diglit.30639#0193
approuvées par l’Académie; 107
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SECONDE ÉCLUSE —
I N y E N T É E
P A R M. * * *
LA seconde écluse dansce canal ABCDEF consiste en Fig. L
une porte plongeante KGHPLI, & mobile; cettep£3 ^
porte ess: composée de deux pieces qui se meuvent aux
points IL. Dans les côtés du canal le plein de cette porte
a un mouvement libre autour des touriiions fe, qui sontàla
partie supérieure de îa porte, ensorte que ce plein est con-
tenu dans une chape dont le centre de mouvement est à
Tendroit gh, ou LI (fig. I.). Les côtés PK, ou ba, ont leur
portée sur les côtés de deux triangles, tels que K, fixés de
part & d’autre aux côtés du canal ; une corde Y sert à rele*;
ver la porte.
Le levier ou triangle MNI est afîiijetti dans lefonddela
riviere par plusieurs charnieres, de maniere qu’il peut être
relevé en tirant sur la cordeX; le côté MI contretient le
plein de la porte qui se meut autour de son centre PG, ou
ef, ( fig. II. ) de sorte que si l’on lâche peu à peu la corde X
du triangle ou levier NIM, ce levier qui tend naturelle-
ment à s’abattre dans le fond, laifîera échapper le plein de
la porte qui se meut dans son chafîis; cettepartie étantpous
fêepar le courant qui vient de la partie Z où est le bateau ,
le triangle étant enfin abattu, & par-là donnant à la porte
toute la liberté que sa contra&ion lui permet, il arrive que
lapartieZ>c, quiestpour lors obligée de ceder au courant,
s’éleve suivantl’arc ci, pendant que les côtés du chafîis eg
mobiles au point ggP sont contraints de s’abaifîer en parcou- & * *
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LA seconde écluse dansce canal ABCDEF consiste en Fig. L
une porte plongeante KGHPLI, & mobile; cettep£3 ^
porte ess: composée de deux pieces qui se meuvent aux
points IL. Dans les côtés du canal le plein de cette porte
a un mouvement libre autour des touriiions fe, qui sontàla
partie supérieure de îa porte, ensorte que ce plein est con-
tenu dans une chape dont le centre de mouvement est à
Tendroit gh, ou LI (fig. I.). Les côtés PK, ou ba, ont leur
portée sur les côtés de deux triangles, tels que K, fixés de
part & d’autre aux côtés du canal ; une corde Y sert à rele*;
ver la porte.
Le levier ou triangle MNI est afîiijetti dans lefonddela
riviere par plusieurs charnieres, de maniere qu’il peut être
relevé en tirant sur la cordeX; le côté MI contretient le
plein de la porte qui se meut autour de son centre PG, ou
ef, ( fig. II. ) de sorte que si l’on lâche peu à peu la corde X
du triangle ou levier NIM, ce levier qui tend naturelle-
ment à s’abattre dans le fond, laifîera échapper le plein de
la porte qui se meut dans son chafîis; cettepartie étantpous
fêepar le courant qui vient de la partie Z où est le bateau ,
le triangle étant enfin abattu, & par-là donnant à la porte
toute la liberté que sa contra&ion lui permet, il arrive que
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s’éleve suivantl’arc ci, pendant que les côtés du chafîis eg
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