APPROUVÉES PAR l’ÀCADÉMIE.
ï3
M A C H I N E
POUR ÉLEVER DE L’EAU
PAR UNE*FORCE CENTRIFUGE,
wi
L„. . PRÉSENTÉE
r ' P A R M. * * *
1732.
UNe roue A B mise en mouvement par une manivelie
C, fait tourner la poulie D au moyen d’une corde
passée sur ieur circonférence , de la même maniere que
l’on fait mouvoir les meules de Couteliers. Au centre de
la pouiie D est fixé l’arbre d’une roueàvanne, enfermée
dans le tambour EF ; ce tambour est soutenu par quelqua
bâti , Ôt percé dans deux endroits de sa circonfdrence de
deux trous cysindriques diametralement opposés : à ces
deux trous l’on adapte deux tuyaux ; le premier est le
tuyau aspirant, G H est le second 3 L est le tuyau de dé-
charge 5 l’eau qui en sort est reçue par ia gouttiere M,
qui ia conduit ou il est nécessaire.
La figure N 5 O, P 3 Q 3 R, S, est le prosil du tam-
bour, de la vanne , ôt des tuyaux. Le diametre de la
vanne P 3 Q, est à peu près égal au diametre intdrieur du
tambour. La largeur des aîles est aussi presque dgale à la
largeur du même tambour. Les cosiets dans lesquels tour«
ne ia vanne, doivent être ajustés de maniere que i’air ne
puisse passer au travers des fonds du tambour. Le tuyau
aspirant RS est supposé tremper dans un réservoir. Si
l’on fait tourner la grande roue AB, la roue D tour-
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M A C H I N E
POUR ÉLEVER DE L’EAU
PAR UNE*FORCE CENTRIFUGE,
wi
L„. . PRÉSENTÉE
r ' P A R M. * * *
1732.
UNe roue A B mise en mouvement par une manivelie
C, fait tourner la poulie D au moyen d’une corde
passée sur ieur circonférence , de la même maniere que
l’on fait mouvoir les meules de Couteliers. Au centre de
la pouiie D est fixé l’arbre d’une roueàvanne, enfermée
dans le tambour EF ; ce tambour est soutenu par quelqua
bâti , Ôt percé dans deux endroits de sa circonfdrence de
deux trous cysindriques diametralement opposés : à ces
deux trous l’on adapte deux tuyaux ; le premier est le
tuyau aspirant, G H est le second 3 L est le tuyau de dé-
charge 5 l’eau qui en sort est reçue par ia gouttiere M,
qui ia conduit ou il est nécessaire.
La figure N 5 O, P 3 Q 3 R, S, est le prosil du tam-
bour, de la vanne , ôt des tuyaux. Le diametre de la
vanne P 3 Q, est à peu près égal au diametre intdrieur du
tambour. La largeur des aîles est aussi presque dgale à la
largeur du même tambour. Les cosiets dans lesquels tour«
ne ia vanne, doivent être ajustés de maniere que i’air ne
puisse passer au travers des fonds du tambour. Le tuyau
aspirant RS est supposé tremper dans un réservoir. Si
l’on fait tourner la grande roue AB, la roue D tour-