APPROUVÈES PAR l’AcADÉMIE. ij
MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM
M A C H I N E —
PROPOSÊJE
.
POUR ÉLEVER DE L EAU
A U P ONT-AU-CH ANGEj
INYENTÉE •
PAR M. BOULOGNE.
À B esî: une roue de moulin, à l’arbre de laquelie son£
fixement attachées deux lanternes C, D, garnies chacune
de qiiatre fuseaux ; ces fuseaux sont disposés de maniere
que chacun d’eux se trouve par rapport à Pautre lanterne ,
dans le vuide des fuseauxdela même lanterne, afin de faire
agir les pompes alternativement. Deuv1pvî®*c EFn; HILs
mobiles aux points FI, serventà cet usage. Les extrêmités
HEtiennent les tiges des pifions enfermées dans les pom-
pes MN, où l’eau monte par aspiration dansles tuyaux
O p ; cette même eau est ensuite refoulée dans le tuyau
montant X. A quelque disiance des centres de mouvement
des leviers , est posé en travers un balancier RS T, mobL
le au point S, ôt qui porte sur les deux leviers.
Sur ia droite de ce mouvement en est un autre dif-
férent, parce que ies leviers agissent par un mouvement
tout-à-fait contraire aux premiers ; c 5est-à- dire, que les
îeviers a b c, def\ au lieu d’être de ia premiere espece sont
de la seconde ; leurs centres de mouvement se trouveront
à leurs extrêmités cf ; Jes tiges sont en ce cas attachées
aux points b eP quifont> de même que de l’autre côté, agit
MMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM
M A C H I N E —
PROPOSÊJE
.
POUR ÉLEVER DE L EAU
A U P ONT-AU-CH ANGEj
INYENTÉE •
PAR M. BOULOGNE.
À B esî: une roue de moulin, à l’arbre de laquelie son£
fixement attachées deux lanternes C, D, garnies chacune
de qiiatre fuseaux ; ces fuseaux sont disposés de maniere
que chacun d’eux se trouve par rapport à Pautre lanterne ,
dans le vuide des fuseauxdela même lanterne, afin de faire
agir les pompes alternativement. Deuv1pvî®*c EFn; HILs
mobiles aux points FI, serventà cet usage. Les extrêmités
HEtiennent les tiges des pifions enfermées dans les pom-
pes MN, où l’eau monte par aspiration dansles tuyaux
O p ; cette même eau est ensuite refoulée dans le tuyau
montant X. A quelque disiance des centres de mouvement
des leviers , est posé en travers un balancier RS T, mobL
le au point S, ôt qui porte sur les deux leviers.
Sur ia droite de ce mouvement en est un autre dif-
férent, parce que ies leviers agissent par un mouvement
tout-à-fait contraire aux premiers ; c 5est-à- dire, que les
îeviers a b c, def\ au lieu d’être de ia premiere espece sont
de la seconde ; leurs centres de mouvement se trouveront
à leurs extrêmités cf ; Jes tiges sont en ce cas attachées
aux points b eP quifont> de même que de l’autre côté, agit