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Académie des Sciences <Paris> [Editor]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 6.1732/​34 (1735) [Cicognara, 917F]

DOI issue:
Recueil des machines approuvées par l'académie royale des sciences
DOI article:
No. 366
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https://doi.org/10.11588/diglit.30639#0040
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173 1 •
n p.3;8.

'ië Recüeïl dës Machines
des piflons enfermés dans les pompes gh, garnies de leurs
tuyaux alpirans i L : l’eau est refoulée dans le tuyau mon-
tant m. Un balancier nop , pour le même usage que le
premier, est ici posé en-deüous des leviers. Venons à
présent au mouvement de la machine , après quoi nous
donnerons les dimenlions des parties qui la composent.

Si Ton imagine la roue tourner de A vers Z, il arrivera
qu un des fuseaux de la lanterne D élevera le levier L, qui
en ce cas refoulera dans la pompe N ; ce levier en mon-
tant élevera aussi l’extrêmite T du balancier TSR; l’autre
bout R s’abaissera, ensemble le levier G, qui ne tient
plus au fuseau qui avoit servi à son élévation ; la pompe M
aspirera donc pendant que le piston de la pompe N refou-
lera l’eau qui montera néçessairement dans le tuyau ver^
tical X.

Ces mêmes fuseaux en circuîant attraperont les extrê-
mités du levier ad; rnais au lieu de les élever, ils les
abaissseront : le fuseau donc de la lanterne D abaissant lç
bout d du levier d es, le piston de la pompe h refoulera
l’eau dans fuyau m ; pendant ce mouvement le levier
abaisse aussi l’extrêmitép du balancier p o n, ce qui ne peut
arriver sans que le bout n ne s’éleve en élevant aussi le ie*.
vierc b #, qui pour lors par sélévation du piston donne le
moyen à la pompe aaspirer par le tuyau i.

L’on suppose tous ces tuyaux garnis de soupapes au&
endxoits ovi eiles sont nécessairess

DIMENSIQNS
 
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