approuvées par l’Acadêmie. 25
les parois intérieurs de lapompe, ce qui rendroit la ma-
chine d’un grand entretien. 17 3
2°. Réciproquement la trop grande longueur de chaî- N 0.3^7.
nes les rendront sujettes à manquersouvent, & leur poids & 3(58.
donnera beaucoup de peine à les transporter pour les rac-
commoder; jointà ce qu’elles seront sujettes à sortir de
leur aplomb.
3° La difficulté deplacer ôc d’entretenir toujours droi-
te une pompe de cette hauteur, & d’un si petit diametre.
Depuis, M. Saulon a présenté un second projet, qui
consiste en ce qui suit ; cependant toujours fondé sur le
même principe.
Les choses restant dans le même état que ci-devant, Planche
parrapportau calcul & à la méchanique que i’on a em-
ployés pour faire mouvoir lamachîne? on ajouteraseule-
ment 4 balanciers * maltlé hauteur , qui correspondront
à quatre leviers que l’on a placés à côté des premiers, &
quiseront abaissés parde nouveaux mentonnets pratiqués
sur i’arbre, & disposés comme les autres. La premiere
pompe menée par ces premiers baianciers rendra son eau
dans le puisard situé à moitié hauteur ; dans ce puisard
l’on mettra l’autre corps de pompe, qui aspirera & por-
tera l’eau à la hauteur demandée ; par ce moyen la gran-
de hauteur des pompes, de même que les tiges des pis-
tons, se trouvent réduites à moitié ; mais outre que ia
machine se trouve plus compliquée, & par conséquent
la ddpense augment<5e, c'est que les inconvéniens cités
ci-dessus ne se trouvent pas beaucoup diminués. Si l’on
dit que le grand entretien que Fon prétend trouver dans
cette machine n’est pas fondé, il n’y a qu’à considérer
que ces pompes de 30 pieds de haut dans le dernier projet
n’ayant que trois pouces de diametre, on ne sauroit em-
pêcher que les tiges des pistons ne frottent contre les
pompes, ôc ne ies usent considérablement, malgré les
les parois intérieurs de lapompe, ce qui rendroit la ma-
chine d’un grand entretien. 17 3
2°. Réciproquement la trop grande longueur de chaî- N 0.3^7.
nes les rendront sujettes à manquersouvent, & leur poids & 3(58.
donnera beaucoup de peine à les transporter pour les rac-
commoder; jointà ce qu’elles seront sujettes à sortir de
leur aplomb.
3° La difficulté deplacer ôc d’entretenir toujours droi-
te une pompe de cette hauteur, & d’un si petit diametre.
Depuis, M. Saulon a présenté un second projet, qui
consiste en ce qui suit ; cependant toujours fondé sur le
même principe.
Les choses restant dans le même état que ci-devant, Planche
parrapportau calcul & à la méchanique que i’on a em-
ployés pour faire mouvoir lamachîne? on ajouteraseule-
ment 4 balanciers * maltlé hauteur , qui correspondront
à quatre leviers que l’on a placés à côté des premiers, &
quiseront abaissés parde nouveaux mentonnets pratiqués
sur i’arbre, & disposés comme les autres. La premiere
pompe menée par ces premiers baianciers rendra son eau
dans le puisard situé à moitié hauteur ; dans ce puisard
l’on mettra l’autre corps de pompe, qui aspirera & por-
tera l’eau à la hauteur demandée ; par ce moyen la gran-
de hauteur des pompes, de même que les tiges des pis-
tons, se trouvent réduites à moitié ; mais outre que ia
machine se trouve plus compliquée, & par conséquent
la ddpense augment<5e, c'est que les inconvéniens cités
ci-dessus ne se trouvent pas beaucoup diminués. Si l’on
dit que le grand entretien que Fon prétend trouver dans
cette machine n’est pas fondé, il n’y a qu’à considérer
que ces pompes de 30 pieds de haut dans le dernier projet
n’ayant que trois pouces de diametre, on ne sauroit em-
pêcher que les tiges des pistons ne frottent contre les
pompes, ôc ne ies usent considérablement, malgré les