1732.
àpfrouvées par l’Académie. 29
diîatation du cœur; cette eau y montera forcée par la
preffîon de i’air sur la furface de l’eau du réservoir. Après
cette dilatation, si 011 lâche la corde, l’air quipressela par- N°.3 ^p,
tie inférieure & mobile du cœur recontradera le cœur; & 8c 370.
îa soupape M supposée libre, se fermant par le mouve--——
ment de retour de la liqueur entrée dans le cœur, l’eau
montera dans le tuyau GKL, jusqu’à ce que la- quantité
montée fasse équilibre avec la force de l’air qui presse la
partie inférieure &mobile du cœur, ce qui arrivera lors-
qu’elle sera élevée dans ce tuyau à la hauteur d’environ
S 2 pieds au-dessus du piston : st l’on redilatoit le cœur 5 il
ne monteroit point de nouvelle eau du réservoir dans le
cœur comme auparavant; mais au contraire ce seroit Peau
montée dans le tuyau GKL, au-dessus de D, qui redes-
cendroit. pour occuper dansce mêmecœurlaplace d’aug-
mentation.
Le réservoir AB rempli d’eau Z, le tuyau OCCC par Plangub
où l’eau monte dans le cœur, la soupape M , & le cœur 1 L
QQ, ne different en rien de la planche précédente. Le
tuyau GKL de la premiere figure" est ici recourbé en I,
de sorte que sa hauteur dessus le petit plateau du cœur 5
lorsqu’il est tout-à-fait dilaté, ait moins de 30 pieds, mais
par exemple, 29 pieds de H en I : il y a de plus une sou-
pape en Y environ 30 pieds au-dessus de la surface de
l’eau du réservoir, & disposée comme la soupape M de la
premiere planche. A la courbure IL eft adapté un tuyau
L E , plus gros que les autres, & que l’on appellera tuyau
de sortie ; sa longueur est d’environ 3 s pieds : on pratique
une ouverture à Lendroit N à 34 pieds au-dessous de son
extrêmité supérieure ; cette ouverture est enfoncée de
quelques pouces dans l’eau du petit réservoir W, au-
quel est une conduite pour rendre l’eau en quelque part»
On peut encore confîdérer cet assemblage de tuyaux:
comme un seul , n’ayant que deux ouvertures aux extrê-
mités N & O.
àpfrouvées par l’Académie. 29
diîatation du cœur; cette eau y montera forcée par la
preffîon de i’air sur la furface de l’eau du réservoir. Après
cette dilatation, si 011 lâche la corde, l’air quipressela par- N°.3 ^p,
tie inférieure & mobile du cœur recontradera le cœur; & 8c 370.
îa soupape M supposée libre, se fermant par le mouve--——
ment de retour de la liqueur entrée dans le cœur, l’eau
montera dans le tuyau GKL, jusqu’à ce que la- quantité
montée fasse équilibre avec la force de l’air qui presse la
partie inférieure &mobile du cœur, ce qui arrivera lors-
qu’elle sera élevée dans ce tuyau à la hauteur d’environ
S 2 pieds au-dessus du piston : st l’on redilatoit le cœur 5 il
ne monteroit point de nouvelle eau du réservoir dans le
cœur comme auparavant; mais au contraire ce seroit Peau
montée dans le tuyau GKL, au-dessus de D, qui redes-
cendroit. pour occuper dansce mêmecœurlaplace d’aug-
mentation.
Le réservoir AB rempli d’eau Z, le tuyau OCCC par Plangub
où l’eau monte dans le cœur, la soupape M , & le cœur 1 L
QQ, ne different en rien de la planche précédente. Le
tuyau GKL de la premiere figure" est ici recourbé en I,
de sorte que sa hauteur dessus le petit plateau du cœur 5
lorsqu’il est tout-à-fait dilaté, ait moins de 30 pieds, mais
par exemple, 29 pieds de H en I : il y a de plus une sou-
pape en Y environ 30 pieds au-dessus de la surface de
l’eau du réservoir, & disposée comme la soupape M de la
premiere planche. A la courbure IL eft adapté un tuyau
L E , plus gros que les autres, & que l’on appellera tuyau
de sortie ; sa longueur est d’environ 3 s pieds : on pratique
une ouverture à Lendroit N à 34 pieds au-dessous de son
extrêmité supérieure ; cette ouverture est enfoncée de
quelques pouces dans l’eau du petit réservoir W, au-
quel est une conduite pour rendre l’eau en quelque part»
On peut encore confîdérer cet assemblage de tuyaux:
comme un seul , n’ayant que deux ouvertures aux extrê-
mités N & O.