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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 6.1732/​34 (1735) [Cicognara, 917F]

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Recueil des machines approuvées par l'académie royale des sciences
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No. 379 & 380
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https://doi.org/10.11588/diglit.30639#0106
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Recueil des Machines
avec son baicon , comme on ne pourroit pas placer un mât,
1732. on y remédie en mettant au-desfus de la fenêtre en B 1111
N°.37p. cylindre de bois traversé d’un axe de fer mobile sur deux
ôt 380. couettes ou especes de crapaudines sceiiées dans le mur.

A ce cylindre qui représente une portion du mât, on at»
tache la perche comme dans la planche I. On fîxe une
pouiie en L beaucoup au-desfus, & ce point L représente
îe haut du mât ; le reste se voit aisément. G est le tacquet des
bras ; I est le tacquet ou s’arrête la corde qui éieve la per-*
che ; & M est le tacquet où s’arrête celle qui éleve la
lunette.

En serrant la lunette le plus près que l’on pourra de
Fextrêmité de la perche5 on évitera le$ balancemens de la
lunette, que le moindre vent, ou le mouvement de l’ob-
servateur feroit baiancer ; & si l’on estobiigé d’observerà
un grand vent on retiendra la lunette, & on Bempêçhera
de balançer par le moyen de deux autres bras fixe's en quel-
qu’endroit de sa longueur vers son extrêmité la plus éloh
gnée ; & l’on fera pastser ces bras sur d’autres pouîies fixées
au parement du mur, d’où elles reviendront vers PObser-
vateur, qui les manœuvrera suivant son besoin de 1 a mêmo
maniere que ceux de la perche.

MANIERE
 
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