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Recueil des machines approuvées par l'académie royale des sciences inventée par
DOI article:No. 401
DOI Page / Citation link: https://doi.org/10.11588/diglit.30639#0209
APPROUVÉES PAR L ÀCADÉMIE, 115*
1 ?s 5-
N°.^oï#
TOMBEREAU —
% •
QUI S E CHARGE
PAR LE TIRAGE DU CHEVAL,
/ N V E N T É
PARM. DUQUET.
AB est le corps du tombereau construît à l’ordinaire ;
l’ai/rieu des deux roues CD entre quarrément dans ies
moyeux, de maniere que les roues&l’aissieu ne font qu’un
seulmorceau. Deux crapaudines, telles que E, sontfixées-
de part & d’autreducoffre ; c'estdans ces crapaudines , que
l’aissieu & les roues tournent ensemble ; le mêmeaissieu
porte deux petites rou.es FG, qui lui sont aussi fermement
attachées; ces roue's font garnies chacune de deux chevil-
les , dont les usages seront expliqués.
A quelque distance sur le devant du tombereau, est
pratiqué un second aissieu HI posé paralieiement au pre»
mier ; il tourne de même dans de petits crampons : onat-
tache en son miiieu le manche de ia cuiliier ou pelle L,
& aux extrêmités sont pareillement fixés deuxleviers MN,
dont les bouts sont rencontrés par les cheviües des petites
roues F, G, ensorte que ces leviers faisant ensemble le
chemin OP, la cuiliier sait dans un sens contraire le che-
min LR.L 3 on conçoit que les chevillesvenant à s"échappe£
des leviers, la cuillier doit tomber par fon propre poids»
Les chevilîes étant posées vis-à-vis les unes des autres, &L
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TOMBEREAU —
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QUI S E CHARGE
PAR LE TIRAGE DU CHEVAL,
/ N V E N T É
PARM. DUQUET.
AB est le corps du tombereau construît à l’ordinaire ;
l’ai/rieu des deux roues CD entre quarrément dans ies
moyeux, de maniere que les roues&l’aissieu ne font qu’un
seulmorceau. Deux crapaudines, telles que E, sontfixées-
de part & d’autreducoffre ; c'estdans ces crapaudines , que
l’aissieu & les roues tournent ensemble ; le mêmeaissieu
porte deux petites rou.es FG, qui lui sont aussi fermement
attachées; ces roue's font garnies chacune de deux chevil-
les , dont les usages seront expliqués.
A quelque distance sur le devant du tombereau, est
pratiqué un second aissieu HI posé paralieiement au pre»
mier ; il tourne de même dans de petits crampons : onat-
tache en son miiieu le manche de ia cuiliier ou pelle L,
& aux extrêmités sont pareillement fixés deuxleviers MN,
dont les bouts sont rencontrés par les cheviües des petites
roues F, G, ensorte que ces leviers faisant ensemble le
chemin OP, la cuiliier sait dans un sens contraire le che-
min LR.L 3 on conçoit que les chevillesvenant à s"échappe£
des leviers, la cuillier doit tomber par fon propre poids»
Les chevilîes étant posées vis-à-vis les unes des autres, &L