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DU RÔLE DE M PRÉFIXE EN ÉGYPTIEN.
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2° Les pronoms absolus:
aa/wv\
<=> @, iitor = nns, etc.
3° Le nom d'agent en i: l Ilaxvou^t.
4° Le nom de lieu en m préfixe: l^^Jj (Brugsch, p. 587) «lieu à ciel ouvert,
vestibule». Mot construit d'une façon analogue à HS'Î? « autel»; de HDÎ
«sacrifier, égorger», et à l'arabe JULkLe, de JJuà «faire».
— |.R
= Uo.
5° Quelques négations:
6° Quelques conjonctions: l| an «si», et ^ f «si».
(à
7° Le pluriel: = 1 et L suffixes.
1 III *
8° La formation des pronoms absolus au moyen de supports : <~:>Vyû « (mon nom)
AAAAAA C 1
moi », ^ ^ « ma bouche » = ^^w-àj et ^-^^ « (mon âme et mon souffle)
moi ».
9° Le féminin en t: o = fi, & et suffixes.
10° Le féminin dans les collectifs: * ^a f011^ des paysans>>-
11° Les causatifs en
, -=-^;
"\ Q aa/wv\ ocx
io^o^^ «submerger, inonder», de ' «remplir».
aa/w\a
AAAAAA n AAAAAA
j^>Jj ^ «rayonner», et Jj ^ «anneau».
^0_d «justifier, distribuer la justice», de _-j^j «la justice».
12° L'analogie avec un grand nombre de racines sémitiques :
^\ ^ s—û «enchaîné», et rHJX
JA^AA
« anneau », et Ï2:2X
o ;
^^^^Hf1 <<ros6e», et "!K
v ^ t\ «les humains», et DIX
/—
Q « fermer, sceau », et DDH
D cjb «deux», , ,U, etc.
Il ; & '
13° L'analogie dans les noms de nombre, etc.
Cet aperçu, très réduit, suffit à constater que l'idée de la philologie comparée entre
l'égyptien et les langues sémitiques mères ne doit pas être écartée, mais qu'au contraire,
DU RÔLE DE M PRÉFIXE EN ÉGYPTIEN.
0
2° Les pronoms absolus:
aa/wv\
<=> @, iitor = nns, etc.
3° Le nom d'agent en i: l Ilaxvou^t.
4° Le nom de lieu en m préfixe: l^^Jj (Brugsch, p. 587) «lieu à ciel ouvert,
vestibule». Mot construit d'une façon analogue à HS'Î? « autel»; de HDÎ
«sacrifier, égorger», et à l'arabe JULkLe, de JJuà «faire».
— |.R
= Uo.
5° Quelques négations:
6° Quelques conjonctions: l| an «si», et ^ f «si».
(à
7° Le pluriel: = 1 et L suffixes.
1 III *
8° La formation des pronoms absolus au moyen de supports : <~:>Vyû « (mon nom)
AAAAAA C 1
moi », ^ ^ « ma bouche » = ^^w-àj et ^-^^ « (mon âme et mon souffle)
moi ».
9° Le féminin en t: o = fi, & et suffixes.
10° Le féminin dans les collectifs: * ^a f011^ des paysans>>-
11° Les causatifs en
, -=-^;
"\ Q aa/wv\ ocx
io^o^^ «submerger, inonder», de ' «remplir».
aa/w\a
AAAAAA n AAAAAA
j^>Jj ^ «rayonner», et Jj ^ «anneau».
^0_d «justifier, distribuer la justice», de _-j^j «la justice».
12° L'analogie avec un grand nombre de racines sémitiques :
^\ ^ s—û «enchaîné», et rHJX
JA^AA
« anneau », et Ï2:2X
o ;
^^^^Hf1 <<ros6e», et "!K
v ^ t\ «les humains», et DIX
/—
Q « fermer, sceau », et DDH
D cjb «deux», , ,U, etc.
Il ; & '
13° L'analogie dans les noms de nombre, etc.
Cet aperçu, très réduit, suffit à constater que l'idée de la philologie comparée entre
l'égyptien et les langues sémitiques mères ne doit pas être écartée, mais qu'au contraire,