MÉTATHÈSES APPARENTES EN ÉGYPTIEN
141
Par exemple, clans ( ^^j^^f ou bien dans
un blanc considérable.
D'autre part, entre la tête et les pattes de presque
espace vide : on y loge précisément le petit signe qui
, le o laisse à côté de lui
tous les oiseaux, il y a un
doit suivre l'oiseau, et il
se trouve ainsi placé avant lui.
Ainsi s'expliquent les orthographes suivantes, dont la plupart sont connues depuis
longtemps :
pour p.\\ dans la terminaison des duels.
pour dans la terminaison des pluriels féminins. La forme est si
fréquente dans les textes et était devenue si habituelle aux scribes, qu'on a hésité long-
temps sur la véritable lecture du pluriel féminin1.
Mir., 84, 128 etpassim = \\<=> Mir., 126.
2
Ç Mir., 43, 70, 80, 126, 127, 128, 129, etc. = t=J^^PépiII, 123 et passim,
% §=*»T fc, Téti) 323 (Lange) = ^=>^>^\ unas> 510-
1 !à>Q1k fPépi J'415=1 !klko fMir' '595 = \ l^lko \Pépi 11 '1201
i) î ^ Mir' '660 =n 1 Ikl^ APêpi J'671 ■
2\ JUt* Pêpi 11 '841 = ^1JUL Pépi A167-
□
□ Leps., Denkm., II, 44, b (2e rangée de la liste d'offrandes) -
qui est la forme habituelle = cofe-r.
A
Leps., Denkm., II, 130 (Beni-Hassan). Nom propre. Dans la même planche
on a la forme normale :
P^lkl Pépi 11 ' 704 = f^l^l Mr" 250 '
f Unas, 493 = y <è\ Af Unas, 587, forme habituelle.
1. Voir encore dans Sethe (Verbum, I, § 297) une longue série d'exemples d'un ^ placé devant un
ou devant un
2. Cf. Sethe, AZg. Zeit., XXX, p. 113, où il explique par cette graphie une erreur de lecture très curieuse.
3. Ce mot est donné par M. Max Mùller, AZg. Zeit., XXXII, p. 33, comme exemple de groupement pure-
ment calligraphique. Mais il cite Mir., 626, où le passage n'est pas clair.
141
Par exemple, clans ( ^^j^^f ou bien dans
un blanc considérable.
D'autre part, entre la tête et les pattes de presque
espace vide : on y loge précisément le petit signe qui
, le o laisse à côté de lui
tous les oiseaux, il y a un
doit suivre l'oiseau, et il
se trouve ainsi placé avant lui.
Ainsi s'expliquent les orthographes suivantes, dont la plupart sont connues depuis
longtemps :
pour p.\\ dans la terminaison des duels.
pour dans la terminaison des pluriels féminins. La forme est si
fréquente dans les textes et était devenue si habituelle aux scribes, qu'on a hésité long-
temps sur la véritable lecture du pluriel féminin1.
Mir., 84, 128 etpassim = \\<=> Mir., 126.
2
Ç Mir., 43, 70, 80, 126, 127, 128, 129, etc. = t=J^^PépiII, 123 et passim,
% §=*»T fc, Téti) 323 (Lange) = ^=>^>^\ unas> 510-
1 !à>Q1k fPépi J'415=1 !klko fMir' '595 = \ l^lko \Pépi 11 '1201
i) î ^ Mir' '660 =n 1 Ikl^ APêpi J'671 ■
2\ JUt* Pêpi 11 '841 = ^1JUL Pépi A167-
□
□ Leps., Denkm., II, 44, b (2e rangée de la liste d'offrandes) -
qui est la forme habituelle = cofe-r.
A
Leps., Denkm., II, 130 (Beni-Hassan). Nom propre. Dans la même planche
on a la forme normale :
P^lkl Pépi 11 ' 704 = f^l^l Mr" 250 '
f Unas, 493 = y <è\ Af Unas, 587, forme habituelle.
1. Voir encore dans Sethe (Verbum, I, § 297) une longue série d'exemples d'un ^ placé devant un
ou devant un
2. Cf. Sethe, AZg. Zeit., XXX, p. 113, où il explique par cette graphie une erreur de lecture très curieuse.
3. Ce mot est donné par M. Max Mùller, AZg. Zeit., XXXII, p. 33, comme exemple de groupement pure-
ment calligraphique. Mais il cite Mir., 626, où le passage n'est pas clair.