Revue égyptologique (4.1885)

Le poème de Pentaour.

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de Kadeseh; ils attaquèrent la légion de Phra vers le milieu.

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L. 20.

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Ils étaient à marcher; ils ne savaient pas: ils n'étaient pas

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au combat. Eurent les soldats et les chars

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K. 17.

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de S. M. à faiblir devant eux. Voici (pie S. M.

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et l'un d'eux était d'un côté, et l'autre de l'autre».

soleil fait surgir un fleuve entre les deux frères :

1 safu, attaquer un pays iBrugscii, Dict.). Cf. ujcoq, vastare. Il existe cependant un mot Mm, v\

* ~ ) | .sa/, détruire par le teu, auquel le mot copte ujcoq se rapporterait mieux. _^ • n-a paraît

moins énergique. Ainsi (Dùmichen, Hist. Inschr. 15, 19) on trouve : «Ceux qui se sauvaient furent tués»,

' A $ s>-c i Ies attaquants furent faits prisonniers. (J. R.)

2 Masa, marcher. Cf. avwuji, via, ambulare. De la un des noms de l'infanterie jj\ _Q ; flu on trouve

dès la IVe dynastie. L'autre nom de l'infanterie le plus usité à l'époque de Ramsès est gww(( Qfffi]
tfi-u. Cf. Louqsor, 1. 82. Ainsi (Inscription dédicatoire d'Abydos. 1. 45) Ramsès, nommé héritier (erpa) du

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trône de Seb, dit qu'il donne des ordres : a

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«en chef de l'infanterie et de la cavalerie». (J. R.)

3 Pendant qu'elle était en marche, et que ne sachant rien, elle n'était pas prête au combat ». heru,
préparé à; voy. note ci-dessus Louqsor, 1. 5.

4 bute?, faiblir. Plus loin on trouve : «leur cœur faiblit dans leur sein», et à Ibsamboul, 1. 36: «voici