ADDITIONS
A mon grand regret, il ne m’a pas été possible de
tirer profit de quelques ouvrages importants qui
ont paru (ou qui me sont parvenus) pendant l’im-
pression du présent volume. J’en cite, p. e., R. M.
Dawkins, The sanctuary of Artémis Orthia ( = JHSt.,
Supplementary paper, n°5) et Valentin Müller, Frühe
Plastik in Griechenland und Vorderasien. Quant
à la nouvelle édition de BMC, Sculpture, vol. I, part i,
j’ai dû me borner à de simples renvois pour remplacer
ceux qui se rapportaient à la première édition. Si je
l’avais eue sous la main plus tôt, j’aurais traité la
question du lieu de fabrication des figurines en pierre
calcaire plus au long que je ne l’ai fait ci-dessus,
p. 403. Mais le résultat aurait été le même. Je ne
peux me ranger à l’opinion de l’auteur (F. N. Pryce),
qui regarde les figurines trouvées dans l’île de Rhodes
comme faites dans l’île même (op. c., p. 158 sq.):
pour ma part, j’y vois encore des travaux chypriotes
importés par le commerce, comme beaucoup de
statuettes en terre cuite, de vases et d’autres objets
en bronze ou en terre cuite, mis au jour dans l’île de
Rhodes et dans plusieurs contrées du monde grec.
P. 3 en haut: ajouter Blinkenberg, La déesse de
Lindos (discours fait à Lund en août 1929, à l’occasion
du Ve Congrès pour l’histoire des religions), dans
Archiv für Religionswissenschaft XXVIII, p. 154—165.
P. 8. Une photographie de l’acropole lindienne,
vue du sud, fait bien voir la situation de la grotte
de Panagia Spiliotissa, v. la reproduction, op. c.,
p. 158, fig. 1.
P. 9 et 30. Vollgraff, dans Mnemosyne LVII,
1929, p. 219 sq., croit le culte d’Athana Lindia dérivé
du culte argien d’Athana Polias.
P. 15. Pour l’image de culte d’Athana Lindia, cf.
Val. Müller, op. c., p. 178.
P. 23. Dans le petit chapitre traitant de la dis-
position de l’ouvrage, j’aurais dû insérer une note
explicative touchant les indications chronologiques
contenues dans les titres des quatre grandes sections
en lesquelles la description des objets trouvés a été
divisée. Ce n’est en vérité que pour les sections I et IV
que ces indications sont valables sans restriction,
tandis que pour un petit nombre d’entre les objets
rapportés aux IIe et IIIe sections il y a quelques ré-
serves à faire, provenant surtout de ce qu’il m’a paru
nécessaire de traiter ensemble certaines catégories d’ob-
jets qui ne permettent pas une division nette au point
de vue chronologique. Tous les vases corinthiens, p. e.,
ont été décrits dans la section II, bien qu’il y en ait
qui dépassent la limite chronologique de cette section
(v. p. 320) ; mais nous ne disposons pas encore des
dates nécessaires pour fixer d’une manière absolument
Fig. 76. Tête de cheval en terre cuite. 2 : 3.
certaine l’âge de chaque vase corinthien. Il en est de
même pour d’autres catégories d’objets (p. e. pour les
statuettes humaines en faïence égyptienne, v. p. 350).
Les vases attiques à figures noires appartiennent pour
la plus grande partie à la période que comprend le
grand dépôt d’ex-voto. Pour cette raison, ils ont tous
été décrits dans la IIIe section, quoique certains spéci-
mens remontent plus haut (p. e. n° 2629). De même,
les vases en bronze, qui ne sont représentés que par de
petits fragments, en grande partie indéterminables au
point de vue chronologique, ont-ils été traités ensemble
dans la IIe section (p. 216 sq.), à l’exception de ceux
dont l’âge tardif peut être regardé comme certain
(nos 3186 sq.).
P. 114, not. 1. Comp. ci-après, p. 756, n° 2038.
614 sq. (Harnachement, p. 196 sq.). Dans la
A mon grand regret, il ne m’a pas été possible de
tirer profit de quelques ouvrages importants qui
ont paru (ou qui me sont parvenus) pendant l’im-
pression du présent volume. J’en cite, p. e., R. M.
Dawkins, The sanctuary of Artémis Orthia ( = JHSt.,
Supplementary paper, n°5) et Valentin Müller, Frühe
Plastik in Griechenland und Vorderasien. Quant
à la nouvelle édition de BMC, Sculpture, vol. I, part i,
j’ai dû me borner à de simples renvois pour remplacer
ceux qui se rapportaient à la première édition. Si je
l’avais eue sous la main plus tôt, j’aurais traité la
question du lieu de fabrication des figurines en pierre
calcaire plus au long que je ne l’ai fait ci-dessus,
p. 403. Mais le résultat aurait été le même. Je ne
peux me ranger à l’opinion de l’auteur (F. N. Pryce),
qui regarde les figurines trouvées dans l’île de Rhodes
comme faites dans l’île même (op. c., p. 158 sq.):
pour ma part, j’y vois encore des travaux chypriotes
importés par le commerce, comme beaucoup de
statuettes en terre cuite, de vases et d’autres objets
en bronze ou en terre cuite, mis au jour dans l’île de
Rhodes et dans plusieurs contrées du monde grec.
P. 3 en haut: ajouter Blinkenberg, La déesse de
Lindos (discours fait à Lund en août 1929, à l’occasion
du Ve Congrès pour l’histoire des religions), dans
Archiv für Religionswissenschaft XXVIII, p. 154—165.
P. 8. Une photographie de l’acropole lindienne,
vue du sud, fait bien voir la situation de la grotte
de Panagia Spiliotissa, v. la reproduction, op. c.,
p. 158, fig. 1.
P. 9 et 30. Vollgraff, dans Mnemosyne LVII,
1929, p. 219 sq., croit le culte d’Athana Lindia dérivé
du culte argien d’Athana Polias.
P. 15. Pour l’image de culte d’Athana Lindia, cf.
Val. Müller, op. c., p. 178.
P. 23. Dans le petit chapitre traitant de la dis-
position de l’ouvrage, j’aurais dû insérer une note
explicative touchant les indications chronologiques
contenues dans les titres des quatre grandes sections
en lesquelles la description des objets trouvés a été
divisée. Ce n’est en vérité que pour les sections I et IV
que ces indications sont valables sans restriction,
tandis que pour un petit nombre d’entre les objets
rapportés aux IIe et IIIe sections il y a quelques ré-
serves à faire, provenant surtout de ce qu’il m’a paru
nécessaire de traiter ensemble certaines catégories d’ob-
jets qui ne permettent pas une division nette au point
de vue chronologique. Tous les vases corinthiens, p. e.,
ont été décrits dans la section II, bien qu’il y en ait
qui dépassent la limite chronologique de cette section
(v. p. 320) ; mais nous ne disposons pas encore des
dates nécessaires pour fixer d’une manière absolument
Fig. 76. Tête de cheval en terre cuite. 2 : 3.
certaine l’âge de chaque vase corinthien. Il en est de
même pour d’autres catégories d’objets (p. e. pour les
statuettes humaines en faïence égyptienne, v. p. 350).
Les vases attiques à figures noires appartiennent pour
la plus grande partie à la période que comprend le
grand dépôt d’ex-voto. Pour cette raison, ils ont tous
été décrits dans la IIIe section, quoique certains spéci-
mens remontent plus haut (p. e. n° 2629). De même,
les vases en bronze, qui ne sont représentés que par de
petits fragments, en grande partie indéterminables au
point de vue chronologique, ont-ils été traités ensemble
dans la IIe section (p. 216 sq.), à l’exception de ceux
dont l’âge tardif peut être regardé comme certain
(nos 3186 sq.).
P. 114, not. 1. Comp. ci-après, p. 756, n° 2038.
614 sq. (Harnachement, p. 196 sq.). Dans la