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Rapport de M. Pierre Marcel, secrétaire, sur l'état des travaux de la Société
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.18478#0172
et intelligente de M. Belleudy. Le soin d’une belle car-
rière administrative ne l’empêche pas de consacrer au tra-
vail scientifique une partie de son temps. Il a beaucoup
publié déjà et, maintenant qu’il s’est joint à nous, nous
espérons bien qu’il nous fera profiter de ses découvertes.
Quant aux Procès-verbaux de l’Académie d’architecture,
M. Lemonnier mène leur édition avec une telle activité
que vous en recevrez le tome II (celui de 1912) dans
quelques jours. Ce sera la première publication de l’an-
née qui vous parviendra, et je crois bien que jamais
vous n’en aurez reçu si tôt. Cette rapidité n’empêche pas
M. Lemonnier d’accompagner son texte de commentaires
nombreux et très neufs, d’autant plus importants que
l’histoire de l’architecture est moins connue en France.
La publication de ces Procès-verbaux sera certainement
le point de départ de toute une série d’études sur l’ar-
chitecture au xviie et au xvme siècle dont le besoin se
fait vivement sentir. C’est dans cette voie que les cher-
cheurs en quête de sujets d’études pourront faire les
découvertes les plus importantes et les plus utiles. Le
tome II des Procès-verbaux de l’Académie d’architecture
comprend les années 1682 à 1689. Vous savez, dans l’en-
semble, ce qu’il contiendra par la communication que
M. Lemonnier a bien voulu nous faire en novembre.
Vous verrez que les détails éclaireront déjà sérieusement
l’histoire encore obscure de nos grands architectes.
Pour l’avenir, Messieurs, nous avons tant de projets
que je passerais des heures à vous en entretenir; mais
comme ils ne se réaliseront pas tous, il sera temps d’en
reparler quand ils seront plus avancés. Un des plus
proches, le plus certain, — du moins je l’espère, — est
celui qui nous donnera pour notre prochain volume
A Archives une Histoire de l’Académie de Saint-Luc. Cette
histoire, notre vénéré vice-président, M. Jules Guiffrey,
en réunit les éléments depuis bien des années. Nous
savons ce que valent les travaux qu’il publie, aussi avons-
nous hâte de connaître celui-là. Et quand nous l’aurons
publié nous aurons épuisé, je crois, la somme des docu-
ments importants relatifs à l’organisation artistique sous
l’ancien régime.
rière administrative ne l’empêche pas de consacrer au tra-
vail scientifique une partie de son temps. Il a beaucoup
publié déjà et, maintenant qu’il s’est joint à nous, nous
espérons bien qu’il nous fera profiter de ses découvertes.
Quant aux Procès-verbaux de l’Académie d’architecture,
M. Lemonnier mène leur édition avec une telle activité
que vous en recevrez le tome II (celui de 1912) dans
quelques jours. Ce sera la première publication de l’an-
née qui vous parviendra, et je crois bien que jamais
vous n’en aurez reçu si tôt. Cette rapidité n’empêche pas
M. Lemonnier d’accompagner son texte de commentaires
nombreux et très neufs, d’autant plus importants que
l’histoire de l’architecture est moins connue en France.
La publication de ces Procès-verbaux sera certainement
le point de départ de toute une série d’études sur l’ar-
chitecture au xviie et au xvme siècle dont le besoin se
fait vivement sentir. C’est dans cette voie que les cher-
cheurs en quête de sujets d’études pourront faire les
découvertes les plus importantes et les plus utiles. Le
tome II des Procès-verbaux de l’Académie d’architecture
comprend les années 1682 à 1689. Vous savez, dans l’en-
semble, ce qu’il contiendra par la communication que
M. Lemonnier a bien voulu nous faire en novembre.
Vous verrez que les détails éclaireront déjà sérieusement
l’histoire encore obscure de nos grands architectes.
Pour l’avenir, Messieurs, nous avons tant de projets
que je passerais des heures à vous en entretenir; mais
comme ils ne se réaliseront pas tous, il sera temps d’en
reparler quand ils seront plus avancés. Un des plus
proches, le plus certain, — du moins je l’espère, — est
celui qui nous donnera pour notre prochain volume
A Archives une Histoire de l’Académie de Saint-Luc. Cette
histoire, notre vénéré vice-président, M. Jules Guiffrey,
en réunit les éléments depuis bien des années. Nous
savons ce que valent les travaux qu’il publie, aussi avons-
nous hâte de connaître celui-là. Et quand nous l’aurons
publié nous aurons épuisé, je crois, la somme des docu-
ments importants relatifs à l’organisation artistique sous
l’ancien régime.