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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 2.1702/​12(1735) [Cicognara, 917B]

DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1703
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No. 85
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https://doi.org/10.11588/diglit.30635#0097
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ÀPPROUVÉES PAR L’ACADÉMIE, 4$

r.\;

M A N I E R E

D E

1703.
N°. 8j.

FAIRE AGIR DES RAMES,

INVENTÉE

PAR M. D E C A M U S.

LA rame ABest attachée à l’extrêmité C d’une mani- Fid. I.

veile C D ; son autre extrêmité D est en dedans du ba- & ü*
teau ? Ôc arcboute en forme de pi vot Contre une traverse llxée
sur l’étrave du mêmebateau. Cette rame fait sa révolution
par le moyen d un levier EF attaché au point I, ou au
point L, à un baiancier LON , qui se peut mouvoir au-
tour de son clou O ; de maniere qu’en poussant, ou tirant,
on fait tourner la manivelle en faisant faire au balancier
LN ie chemin L P. Le levier E F est aussi mobile sur son
point L, de sorte qu’il faut hausser ôc baisser en poussant
ôcentirant alternativement l’extrêmité F dulevier, afinde
faciliter le mouvement circulaire de la manivelle E.

La petite traverse QO , attachée sur le banc RS du ba~
teau, sert à appuyer sur le point O du balancier ; au moyen
de quoi le balancier LN ne peut se déplacer de dessus son
pivot, soit que i’on hausse ou que l’on baisse le levier.

La troisieme figure représente le bateau vu par l’étrave,

6c armé d’une seconde rame T V, semblable à celie que
l’on vientdedécrire; eile arcboute contre ia piece D ; ôc le
levier qui la fait mouvoir se cheville à l’extrêmité N du
même balancier LN. Cette figure fait encore voir la ligne
,de ssotaison, ôc le tirant d’eau des rames, ,
 
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