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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 2.1702/​12(1735) [Cicognara, 917B]

DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1710
DOI Artikel:
No. 133
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https://doi.org/10.11588/diglit.30635#0323
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4?

ÂPPROUVÉES PAR L’ÂCADÉMIE, 173

XMMsXXX»XX»X=XXMXMMXMM^X ’ 710-

JN°.i33

FAUTEUIL MOBILE

S U R

BES R O U LETTE S ,

I N F E N T Ê

P A R M. B E Z ü.

LA pîate-forme AB porte un faumm 1 G L> qui lui est
fixé: cette plate-forme eit elle-même supportée par
troiu _oues ; deux E ? F servent à la faire mouvoir , & la
troiiieme G sert à la diriger.

DesTous le siege du fauteuil ? tout-à-fait près des pieds
de devant est un arbre quarréHI astujettiparallelementau
devant du siege dans deux coilets emmortaisés aux traverses
du fauteuil : cet arbre peut se mouvoir sur lui-même 9 au
moyen de deux manivelles ML, qui sont aux extrêmi-
tés. Dans ie milieu du même arbre est fixée une poulie
N 5 dont ia circonférence est armée de pointes de fer espa-
cées à distances égales l’une de i’autre ; ôt dans le même
plan verticai de ceüe-ci? sur le milieu de sarbre des
grandes rouesEF, il y aune quatrieme roue P5 qui est aussi
iixée en cet endroit, & semblablement garnie de pointes;
cette roue doit être double de la roue N ? suivant î’idée de
son Inventeur.

L’arbre EF étant joint à la plate-forme ; de maniere que
 
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