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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 2.1702/​12(1735) [Cicognara, 917B]

DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1707
DOI Artikel:
No. 122
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https://doi.org/10.11588/diglit.30635#0273
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ÂPPROUVÏEg PAR L’ÂCADÏMIE, I4J

^ _ _. ^ N°SÏ25

PARAS O L S —

o u

PARAPLUI E S,

PERFECTIONNËS

PAR M. MARIUS.

CEs différentes montures de paràpluies sont des suites
perfe£lionnées sur les inconvéniens qu on a reconnus
dans les parapluies du même Auteur, dont on a parlé ci-de-
vant : ces dernieres montures consillent enplusieurs manie-
res de tailler les bois propres à cet usage. Par exemple, le
brin A C B estbrisé en son milieu, ôc assemblé à cet endroit
au moyen d*une simple charniere C ; la tige BD est pareil-
lement brisée par son milieu E ; une petite pointe E sert à
arrêter & à maintenir ces deux brins en les traversant, au
moyen de quoi la tige est tenue droite : cette tige étant pliée
n’occupe de place que ce que représente la figure notée
par les lettres e db E.

La figure GIHL représente une autre espece de tige;
le brin inférieur est partagé dans toute salongueur en deux
branches IH, IL, assembiées à la partie GI par une double
charniere : ces deux branches s’unissent, & ne forment
qu’une seule tige. Le bois d’un parapluie construit de cette
façon, ne tientquelevolume dela figure marquée comme
la précédente en lettres itaiiques.

La figure M, N, O, est une constru£Kon de brins que
l’on attache à la tête du parapluie, & sur lesquels on assu-
Rec, des Machines, Tome II, T
 
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