APPROUVEES PAR LAcAD^MïË.
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N^.iop.
COUTEAUX PLIANTS,-
INFENTÊS
PAR M. DE LA CHAUMETTE.
/ ■»
LE couteau pliant A B peut servïr debayotlnette 2u bout
d’un fii(U s & d’esponton au bout d'unc canne ; cô
coüteau lie differe desautres, qu'èri ce qü’ii est garni de
deux virolles C, D. Lapremiere C est unie, & lâlèconde
D , fixée àla larrie, est taraudée pour y recevoir le bout
du fustl, ou de la canne , qui porte à cette extrêmité
une vis propre pour ie taraud ; au moyen de quoi le
couteau est asfujetti par son manche, & par la lame,
de maniere que dans cet état ii ne peut se plier.
E F un couteau de poche sans reiïort, qui se piiecom-
me un couteau ordinaire.
L’on jointia iame de ce couteau à son manche, par le
moyen de deux réserves cylindriques percées de part-en-
part d’un trou quarré G ; ces reserves s’emboîtent dans
un trou ou concavité de même figure faite dans i’épais*
seur des joues du couteau ; dans le milieu de cette con-
cavité il y a un trou taraudé pour recevoir une vis , qui
sert à écarter , ou à resserrer les joues qui forment ie man-
che. La vis O P est destinée pour cet usage ; cette vis
entre par l’ouverture G de la lame où eüe est fixée. Les
filets de cette vis sont taillés différemment ; c’est-à-dire ,
qu’il y a une de ces vis dont les pas sont à droite, & dans
l’autre iis sont à gauche. Supposant donc que la lame G
soit emboîtée entre les deux joues du manche , chaque
bout de ia vis entrera dans son écrou , & en tournant
plusteurs fois on le pourra serrer plus ou moins. Ce cou<
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N^.iop.
COUTEAUX PLIANTS,-
INFENTÊS
PAR M. DE LA CHAUMETTE.
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LE couteau pliant A B peut servïr debayotlnette 2u bout
d’un fii(U s & d’esponton au bout d'unc canne ; cô
coüteau lie differe desautres, qu'èri ce qü’ii est garni de
deux virolles C, D. Lapremiere C est unie, & lâlèconde
D , fixée àla larrie, est taraudée pour y recevoir le bout
du fustl, ou de la canne , qui porte à cette extrêmité
une vis propre pour ie taraud ; au moyen de quoi le
couteau est asfujetti par son manche, & par la lame,
de maniere que dans cet état ii ne peut se plier.
E F un couteau de poche sans reiïort, qui se piiecom-
me un couteau ordinaire.
L’on jointia iame de ce couteau à son manche, par le
moyen de deux réserves cylindriques percées de part-en-
part d’un trou quarré G ; ces reserves s’emboîtent dans
un trou ou concavité de même figure faite dans i’épais*
seur des joues du couteau ; dans le milieu de cette con-
cavité il y a un trou taraudé pour recevoir une vis , qui
sert à écarter , ou à resserrer les joues qui forment ie man-
che. La vis O P est destinée pour cet usage ; cette vis
entre par l’ouverture G de la lame où eüe est fixée. Les
filets de cette vis sont taillés différemment ; c’est-à-dire ,
qu’il y a une de ces vis dont les pas sont à droite, & dans
l’autre iis sont à gauche. Supposant donc que la lame G
soit emboîtée entre les deux joues du manche , chaque
bout de ia vis entrera dans son écrou , & en tournant
plusteurs fois on le pourra serrer plus ou moins. Ce cou<