Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]: Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent (2.1702/12(1735)) [Cicognara, 917B]

Recueil des Machines,

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MXMMMMMMMMMM :MMMMMMXMMM :MXM 17o 6.

M A C H I N E —

P O U R

ÉLEVER DES FARDEAUX,

1 N FE N T £ E

PARM. THOMAS.

CEtte machine qui est encore une application du
cric déja décrit en 1703 , est composée d’un bâtis de
charpente AB élevé au-destus de la couverture d’une car-
riere ; à ce bâtis est un treuil C D ; à Pextrêmité D est un
pignon mené par une roue dentée E, qui est elle-même
menée par un second pignon F fixé au moulinet HG : le
poids P étant supposé à enlever, 011 le saistt d’abord à la
corde du treuil, ensuite on tourne le moulinet qui fait mou-
voir ce rouage en faisant circuler le treuii C D, autour du«
quel se roule la çorde qui enleve la pierre hors de la car-,
xiere.

Certe machine n’est pas nouvelle, ôc n 5a par elle-même
que fort peu d’avantage. La roueE ne sert ici que de ren-
\ ?oi, ôc n’augmente en rienla puissance, cette roue étant
menéepardeuxpignons égaux; ainst ii sera nécestaire d’au-
gmenterlalongueurdesbarres du moulinet» Toutela com-
modité que i’on y trouve est de pouvoir placer le treuil afîez
hautpour faciliter la sortie de la pierre hors le bâtis; car
d’aiileurs st n’y a aucune direôtion de poids.

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