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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 6.1732/​34 (1735) [Cicognara, 917F]

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Recueil des machines approuvées par l'académie royale des sciences inventée par
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No. 410
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https://doi.org/10.11588/diglit.30639#0250
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138 Recueil des Machines
~ au point I, & porte du côté de laFigure O un plan 111-
1733- H; sur ce pian est un levier coudé QRS, mobiie au

jN°-41 o. point R : sautre extrêmité S esl attachée au-devant de laFi-

-- gure qui est à charniere5 àlendroit T. Deux ressorts VX

contiennent cette figure ; le premier sert à rappeller la
figure après sinclination de corps; & ie second empêche
que ce retour ne se fasse avec trop de précipitation. L'élé-
vation des bras se fait dans le même temps que sinclination
de corps : un fîl abcRxé au point a, sert à ce mouvement;
l’on place une poulie b sur laquelle passe ce fil, dont l’autre
bout est attaché au bras dc ; le ressort/est pour rappeiler
ie bras dansla premiere situation. Lorsque la chevilie F vient
donc à rencontrer le levier K, elle lui fait parcourir le che-
min K&, l’autre extrêmité faisant un chemin contraire, le
plan incliné oblige lelevier QRS de se mouvoir autour de
îon centre R, Ôe i’extrêmité S fait pencher le corps de la
figure suivant ia diredlion T / , ce qui ne peut arriver sans
que le fii ab c , qui pour lors est forcé de s’aiionger , n’é-
leve le bras suivant ia diredtion/'g'. Le levier droit KïH
venant à s’échapper dela cheville R, lelevier s’en retourne
dans sa premiere position, étant contraint par le ressortZ,
& arrêté par ia cheville W, qui détermine son chemin.
Ii en est de même des autres figures, excepté qu’il
faut changer le centre de mouvement du levier droit ;
car dans ce cas le levier est de la premiere espece : mais
comme il faut que la seconde figure , que le ievier LMN
fait agir, ait aussi la diredion T /, le ievier doit être de la
seconde espece j c’est-à-dire, qu’il se meuve à son extrê»
mité L.

Laroue d’Apollon ayant fait agir toutes ces figures, ôc
étant prête à se remettre dans son repos, la même cheville
R rencontre un renvoi de sonnettes m nP,qui se peut mou-
voir au point/2; ôt ce renvoi étant nécessairement entraîné
par la cheville, tire suruncordon qui a rapport au cheval,
& qui leve ia détente du rouage qui le faitmarcher. Pour
 
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