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Molè, Wojsław
Umetnost južnih Slovanov — Ljubljana, 1965

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https://doi.org/10.11588/diglit.24115#0607

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sorte, de continuer l’oeuvre de Mrkvička. Quant à l’activité de la génération nouvelle, on y di-
stingue la présence des modes et des courants artistiques qui se propagent en Europe Occiden-
tale. Ainsi l’impressionnisme fait son apparation en Bulgarie en même temps que le réalisme. Stefan
Wazow est, probablement le plus bulgare de cette génération. Né en 1878, il est l’auteur d’icônes
exécutées avec une piété profonde, de portraits élégants et de scènes de genre. Nikola Marinov
trahit dans son oeuvre des influences italiennes, alors que Nikola Kožucharov (né en 1892) est
l’auteur de scènes fantastiques appartenant à un passé légendaire. Nikola Michailov (né en 1876)
a peint d’excellents portraits de femmes. C’est cependant parmi les auteurs de paysages qu’on
trouve le plus d’artistes bulgares de cette époque. Parmi eux, la première place revient à Nikola
Petrov. La génération qui arrivait à sa maturité vers 1910 commençait à s’éloigner de plus en
plus du réalisme et à ouvrir des horizons nouveaux.

Parallèment à la peinture, nous pouvons observer le développement de la sculpture. Depuis
l’académisme classique de Žeko Spiridonov (né en 1867) et du plus éminent d’entre eux, Andrej
Nikolov (né en 1876), nous arrivons aux Mineurs d’Alexandre Andrejev (né en 1879) et surtout aux
oeuvres d’Ivan Lazarev (né en 1884). Ce dernier a sculpté des types populaires, des paysans, des
pâtres. Dans un art rapproché de l’expressionnisme, l’artiste a rendu pleinement leur existence
pathétique consacrée tout entière à la terre et à leur patrie.

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IdIONAUX à L’ART EUROPÉEN

divers des Slaves Méridionaux qui s’est formé et
oir la place que cet art a pris et occupe de nos

rt joué ici? II est certain qu’on devrait énumérer
;s Slaves avaient apportés lorsqu'ils s’étaient fixés
it tout ce qu’ils y trouvèrent au moment de leur
it alors la culture antique dans sa forme hellénisée
t ruinée. Malgré cela c’est cette culture qui a servi
s Slaves du Sud. A côté de cela il faut également
t oriental quoique disséminés d’une manière inégale
e plus important dans ses conséquences était le fait
x s’étaient trouvés dans la zone d’influence de la
dentale de cette population avait été, dès le début,
non artistiques et les grandes transformations sur-
ure et extérieure des Slaves du Sud ont joué, ce-
e plus exacte, il faudrait considérer longuement
jles différences qui se sont manifestées dans leurs
les Slaves Méridionaux. Ce n’est qu’alors qu’on
ui rattachent les Slaves méridionaux à l’art euro-
l’intérieur de la Péninsule Balkanique que sur le
dans les vallées de la Sava, du Danube et de la
leau des rapports entre l’art de ces régions et la
ripéties de l’histoire, dans sa partie orientale occi-
l’Europe centrale.
d’abstrait et qui existe seul et par lui-même. C’est
te les grandeurs et les vicissitudes des Slaves Méri-
que cet art mérite sa place dans la culture euro-
 
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