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Institut Français d'Archéologie Orientale <al-Qāhira> [Hrsg.]; Mission Archéologique Française <al-Qāhira> [Hrsg.]
Recueil de travaux relatifs à la philologie et à l'archéologie égyptiennes et assyriennes: pour servir de bullletin à la Mission Française du Caire — 18.1896

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Nr. 1-2
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Scheil, Fr.-V.: Inscription de Nabonide
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https://doi.org/10.11588/diglit.12158#0041

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15. Sakkannaku est écrit Amz7-GIR-SE-TAH-U au lieu de l'idéogramme ordinaire
Àmil-Glïi >-^y. Les deux sont identiques, car ce dernier signe se lit NLTAH,

NITA ; et SE-TAH se peut lire aussi NI-TAH, comme je l'ai montré ZA., VII, 191.

23. Le sens de KA-KA-a-su est clair, la lecture indécise; peut-être se servait-on
phonétiquement de kakâ(su) en assyrien.

Col. VII. — 1. Et seq. Pour Idib-bat-SAG-XJS ; cf. Jensen, Kosm., p. 114, pour
kakkabu SV-PA, ibid.,147. Le dernier signe de la 2° ligne est probablement pour URU-
GAL. Cependant, il est fait comme nous l'indiquons.

17. Suhriru est évidemment de Saliâru « tourner », comme le prouve tusahhi-
ramma, ligne 19 ; redoublé à la 3e radicale, ce mot n'a rien de commun avec le sens du
quadrilittère -nntf.

22. Il faudrait tusrimmi : peut-être a-t-il la lecture tus.

Col. VIII. — 3. Même pierre que R. V. 65, 35.

22. Mât Haria; se trouve près du pays de Lullubi. R. V. 14, 19 c, à l'ouest de
PÉlam. Sur la situation de ces deux pays, Jensen s'est trompé à fond, dans KB., III. 1,
p. 134, note.

57. Kisi-e est le même mot que Ki-sa écrit KI-DI. Delitzsch lit toujours ce
dernier mot Kidi (HWB., 317) dans Nabon.-Ur, III, 34. Bien âtort.

58. Le deuxième signe se rapproche de ^f^^ de Gudêa Cyl. A, 9. 15; 18.
13; 19. 3; 13. 7; 14. 19; 20. 27, qui doit être le signe il t-£^\> comme je le montrerai
ailleurs.

Col. IX. — 7. J'insiste sur la lecture Ê SIGISSE AMAR. Le dernier signe ne
peut être lu autrement, bien que I R. 55, 7, semble avoir deux fois SIGISSE. La
différence n'est pas grande entre les deux signes et on a pu se tromper, dans R. Ici, le
sens est Maison d'immolation du jeune taureau.

9. Nouveau le nom de Marduk (an) Bel Kittu, « Seigneur du Droit ».

13. Il est difficile de ne pas admettre d'après le contexte pour kirri-e, le sens
général d'offrandes, oblations, etc. Le premier signe est d'ailleurs incertain.

19. Nous connaissons un vaisseau et un vase lupputte avec l'idg., ^| jj*^ qui signifie
aussi esêlu, « lier». Entre irbi, hisib d'une part, buse de l'autre, lupputtê peut bien
signifier « choses amassées, réunies, trésor, etc. ».

31. Le signe SAB dans SAB-ni (umma-ni) est fait différemment dans cette ins-
cription du signe UT Cl^- ^ ressemble entièrement à celui de Gudêa Cyl. B, 9.15 ;
12,10. Probablement à l'origine, il n'y avait aucune différence entre e^ ^\ m°derne,
mais ces deux signes différaient de SAB ^ (== ^| moderne).

35. Mahrissu pour mahriya.

38. Ku peut être pour ka : a à ton père, à ta mère (ô Bêl!), à Bêl, à Nabû... ; » ou
bien pour su : « à son père, à sa mère, à Bêl (lui-même), à Nabû... »

50-55. Les trois dieux correspondent aux trois villes nommées : Ninâ(ki) et Is-tar
(alias RI), Larsa et Samas, Uru et Sin.

Col. X. —16. Iteqbu ou iteqpu. Cf. R. III. 38, n° 1, obv. 15, umê imlû ukkipa
 
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