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Revue égyptologique — 6.1891

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Nr. 2
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Rougé, Jacques de: Le poème de Pentaour, [7]
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https://doi.org/10.11588/diglit.11061#0103

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Le poème de Pentaoue.

89

tai-à nie hetâr em ma-ti àri-u tu-à en s en uâ-t

cavaliers de même ont fait. J'avais donné à eux la route

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P. S. VI, 5.
L. 49.
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vers (leurs) villes nombreuses, afin que je trouve eux de même au jour (et) à

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l'heure de marcher au combat. Or voyez! vous avez fait une action

L. 49.
K. 43.

yasi temei em bu ua bu lia (ua) àm-ten
mauvaise tous ensemble : pas ne s'est levé (un) d'entre vous pour donner sa main à moi.2

(La suite prochainement.)

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1 g-, tehan «s'approcher, approcher, marcher vers ». Cf. -rcmo, admovere. Le papyrus emploie

le mot ^ D, lia «se lever, se tenir debout».

2 Le papyrus dit : Lu ha-sen er er ta-t tut-sen hna-à «ils ne se sont pas levés pour donner leur main
à moi». Karnak tourne autrement la même idée : «Pas un seul d'entre vous ne s'est levé pour donner
sa main à moi.»

Sur le passage qui précède, voici ce que dit m. Eevillout dans l'article précité : «Ainsi Eamsès
avait donné en héritage perpétuel certains biens (de son domaine) aux soldats dans leurs villes avec des
points de concentrations en cas de guerre. C'est toute l'organisation décrite par Diodore. Notons que Pen-
taour parle aussi du droit de pétition directe au roi accordé aux membres de la caste militaire. Ce droit,
nous le voyons encore exercé par les soldats comme par les prêtres à l'époque Lagide. » (J. E.)

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