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Revue égyptologique — 6.1891

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Nr. 3-4
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Rougé, Jacques de: Le poème de Pentaour, [8]
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https://doi.org/10.11588/diglit.11061#0154

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112

j. DE ROUGÉ.

P. S. VII, 8

H AAAAAA AAAAAA (c)

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L_ Y aaaaaa f ^ ^ ^

K. 53. 5f ^ 1* AAAAM fx rvi ^ xx 1 1 1 I Jf<? ® ^

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/zer s?ie/*-1 se?i em yerau-ti2 neZ> nefer en pe - yeta

dans leur sang en combattants tons bons de Khéta,

L. 61.
K. 53.

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em yeretu sen-nu en fi-sen uer liai ta seye-t

en enfants, en frères de leur chef. Etant éclairés les champs du

3

P. S. VII, 9.
L. 61.
K. 53.

•pe to kates bu rey-tu ds-ti tekasb ma6 asu-sen
pays de Kadesch, n'était pas connue de place (pour) marcher à cause de la multitude d'eux.

, snef «sang» avec le déterminatif des liquides. Cf. cnoq, sanguis.

2 Q^)^> XX /erau-ti «combattant». La prononciation xer pour le signe a été fournie

par le nom d'une localité, voisine d'Héliopolis, qui est écrite : q^L^j^ ©• Mais Lepsids a fait re-
marquer que la syllabe xeri ainsi orthographiée, ne se rencontre que dans le nom de cette ville : il croit
que le nom de cette ville signifiait «ayant le combat», et qu'il faudrait lire %er, plus la lecture du groupe
Q=Q qui serait à trouver. Il faut cependant remarquer que les variantes du Todtenbuch, par exemple chap. 125,

donnent tantôt Q^2\ et tantôt Q/^\ tout seul. — S'il fallait cependant chercher pour ce signe

<cz> © ©
une autre valeur phonétique, on pourrait peut-être trouver une indication dans le passage suivant : au

traité de Eamsès avec les Khétas, les dieux mâles et les dieux femelles au lieu d'être désignés comme

Q^X I i. Un autre exemple

! I £S .

du même emploi se rencontre au papyrus de Boulaq 14, 15. On dit au défunt momifié (l'Horus de Hebennu) :

d'habitude par les signes (ft^-r ^\ ic=ù) J"f ! ^J) ' sont nommés

«Il te donne

-\ aaaaaa^l(3 s;_0 /\

S-Û_B^ AAAAAA I I I l^Z^_a^ JM^ tC==ÎÙ aaaaaa *-aj^l'

a sépulture des vaillants, tu es un homme (vir) dans l'Amenti. »

Faudrait-il de ces variantes déduire la valeur t'i pour le signe q^") ? On trouve en copte sciei, ferire, vul-

-n (2 n_a

nerare. Cf. ci-dessus Louqsor, 1. 54 Q^) V\ , «traits, flèches».

£2

e vêtement du guerrier,

3 Formule ordinaire pour dire le matin étant arrivé. [NU > «champ». Un des phonétiques

n@nnn- , f Si ^>

' U U U , se/et, Ct. Cûiuje, ager, campus.

usuels est :

< j, às. Ce signe devient un s simple dans les derniers temps : ainsi dans le nom de la déesse Beset.

5 ^"fx "W j tekas «marcher» se retrouve dans tas'cc, gressus.

Où -» I I I

6 _™D' m"' ^6 ^r0U^e a souven^ présenté des difficultés de lecture. Certains auteurs l'ont trans-
crit m-ta. Je crois cependant qu'il faut le lire ma : le groupe ainsi écrit sert à écrire la syllabe ma, par
exemple dans le nom de la ville de Mageddo. La particule mâk se trouve également écrite

(La suite prochainement.)
 
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