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https://doi.org/10.11588/diglit.52556#0257
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FIGURINES
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l’autre, accostés de séries de points; pour les triangles,
cf. pl. 35, n° 53; pour les séries de points, pl. 34, n° 843.
1923 a: PD. Goulot semblable de la forme d’une
tête de griffon. Terre brun gris. Raie en vernis
faisant le tour du cou. H 0.054.
1923 b. Fragment d’une petite tête de griffon,
qui paraît avoir fait partie d’un vase.
1924. Fragment de vase de la forme d’une tête
d’homme barbu, dont la bouche et le menton sont
seuls conservés. H 0.046. Terre d’un jaune brun
clair, vernis noir. Fa barbe est rendue par des séries
de points, la moustache par une raie de vernis. Le
fragment a fait partie du goulot d’une oenochoé ou
d’un vase semblable, de style apparemment très
ancien. On connaît l’idée de donner au goulot d’un
vase à verser la forme d’un masque d’homme (comme
c’est le cas aussi pour certaines dames-jeannes des
temps modernes). Le pointillé indiquant la barbe
paraît conserver le souvenir des petits trous rapprochés,
qui se trouvent quelquefois à l’endroit correspondant
d’oenochoés très anciennes et qui servaient de filtre;
cf. CVA, Copenhague, Musée National, pl. 93, n° 6.
*1925. Balsamaire à forme de buste de femme.
H 0.083. Terre rouge fine. Le visage seul est moulé,
tout le reste façonné à la main. Vernis brun noir aux
cheveux, aux paupières, pupilles et sourcils. La
forme du visage, en triangle allongé, et les yeux grands
ouverts renvoient, avec la technique, cette pièce à
une époque reculée de l’art archaïque.
*1926. [Je classe ici un petit buste (de femme)
moulé très sommairement et sans indication d’aucun
détail. H 0.057. Terre d’un rouge clair. Sauf une
éraflure au visage, la pièce est complète. Elle est
solide, percée de haut en bas d’un trou dont le diamètre
est de 0.008. Faut-il voir dans cet objet l’imitation
d’un balsamaire à forme de buste?]
*1927. Balsamaire à forme de singe accroupi, les
bras levés en l’air. Orifice rond au dos. H 0.084.
Façonné à la main avec une terre rose fine à surface
mate et contenant du mica. Pas de peinture. Man-
quent le bras droit et l’avant-bras gauche ainsi que
des parties des pieds. Cf. n° 1904; Furtwaengler,
Vasensamml. Berlin, nos 1313 sq. ; Olympia, IV, n° 81 ;
Aegina, p. 380, n° 68, fig. 311; Thera, II, p. 27, fig. 70;
Maximova, Les vases plastiques (1927), I, p. 115;
II, pl. 14.
*1928. Partie supérieure d’un balsamaire repré-
sentant un pied chaussé d’une sandale. H 0.079.
Sur le plat de l’orifice, rosace à pétales alternative-
ment rouges et noirs. Sur le bord de l’orifice, trois
rosaces pointillées. Au-dessous du col, série de go-
drons contournés, peints tour à tour en noir et en
rouge violacé ; à la base des arcs formant contour,
points blancs. La plaque verticale qui réunit le bord
du goulot avec le pied est décorée d’une palmette,
peinte également en rouge et en noir. Terre rouge
fine, pailletée de mica. Cf. Furtwaengler, Sammlung
Sabouroff, vignette de la pl. 52 ; Musée National d’Athè-
nes, nos 2063 et 2079; Maximova, Les vases plastiques
(1927), I, p. 176; II, pl. 26, n° 99. Pour un type de
balsamaire semblable en bronze, v. ci-dessus, n° 803.
1929 CA. Balsamaire de la forme d’une tête casquée
du type ionien commun, à couvre-joues mobiles qui
cachent les oreilles. Manquent le goulot et l’extré-
mité de la saillie antérieure; la surface a beaucoup
souffert. H 0.066. Terre rouge fine, ne contenant
pas de mica; vernis noir. L’état de conservation ne
permet pas de constater s’il y a eu des ornements
peints. Pour ce type de vase, cf. MA XIV, p. 272 sq. ;
NS 1894, p. 347, fig. 19 (Vetulonia); 1895, p. 182,
fig. 84 (Syracuse); 1902, p. 500, fig. 2 (Sovana);
Heuzey, Catalogue (1923), p. 232, n° 58 (Carie);
AA 1908, p. 180, fig. 14 (Berezanj); Eph. 1917, p. 210,
fig. 20 (Sounion) ; Maximova, Les vases plastiques
(1927), I, p. 153 sq. (où l’on trouvera citées beaucoup
de pièces analogues); II, pl. 20, n° 79; CVA, Copen-
hague, Musée National, pl. 81, n° 4; etc.
1930. Partie supérieure d’un balsamaire sem-
blable qui a été un peu plus grand que le précédent.
H 0.035. Sur le plat de l’orifice, cercle pointillé,
peint en vernis; sur le devant de la saillie antérieure,
qui est extraordinairement haute, deux lignes croisées
entre deux lignes horizontales, toutes peintes en
blanc.
1931. Fragment du côté gauche d’un balsamaire
semblable (avec l’oeil gauche, qui est peint en blanc
et en vernis, et la charnière du couvre-joue). H 0.035.
*1932. Partie inférieure d’un balsamaire assez
grand qui a représenté une tête de lion, béante, la
langue étendue. H 0.06. Terre rouge.
1933. Partie supérieure d’un balsamaire sem-
blable, plus petit. Terre d’un chamois clair. L’ori-
fice se trouve sur le revers, derrière les oreilles.
*1934. Tête de lièvre, fragment d’un balsamaire
d’une exécution très soignée. L 0.034. Terre rouge
fine. La grande pupille peinte en vernis noir brun
est entourée de la sclérotique blanche. Les paupières
sont peintes en vernis, les deux arcs enfoncés du
museau en rouge violacé. La moustache est gravée.
Tout le reste de la surface est couvert d’un pointillé
fin en vernis délayé. Un balsamaire complet, très
semblable à l’exemplaire lindien, est au Musée National
de Copenhague (CVA, pl. 81, n° 14) ; il a été trouvé en
Italie. Pour d’autres exemples de ce type favori de
balsamaire, v. NS 1894, p. 346; Maximova, Les vases
plastiques (1927), I, p. 110; II, pl. 22; etc.
1935 (GD). Fragment d’un balsamaire sem-
blable: partie du corps d’un lièvre. L 0.054. Terre
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l’autre, accostés de séries de points; pour les triangles,
cf. pl. 35, n° 53; pour les séries de points, pl. 34, n° 843.
1923 a: PD. Goulot semblable de la forme d’une
tête de griffon. Terre brun gris. Raie en vernis
faisant le tour du cou. H 0.054.
1923 b. Fragment d’une petite tête de griffon,
qui paraît avoir fait partie d’un vase.
1924. Fragment de vase de la forme d’une tête
d’homme barbu, dont la bouche et le menton sont
seuls conservés. H 0.046. Terre d’un jaune brun
clair, vernis noir. Fa barbe est rendue par des séries
de points, la moustache par une raie de vernis. Le
fragment a fait partie du goulot d’une oenochoé ou
d’un vase semblable, de style apparemment très
ancien. On connaît l’idée de donner au goulot d’un
vase à verser la forme d’un masque d’homme (comme
c’est le cas aussi pour certaines dames-jeannes des
temps modernes). Le pointillé indiquant la barbe
paraît conserver le souvenir des petits trous rapprochés,
qui se trouvent quelquefois à l’endroit correspondant
d’oenochoés très anciennes et qui servaient de filtre;
cf. CVA, Copenhague, Musée National, pl. 93, n° 6.
*1925. Balsamaire à forme de buste de femme.
H 0.083. Terre rouge fine. Le visage seul est moulé,
tout le reste façonné à la main. Vernis brun noir aux
cheveux, aux paupières, pupilles et sourcils. La
forme du visage, en triangle allongé, et les yeux grands
ouverts renvoient, avec la technique, cette pièce à
une époque reculée de l’art archaïque.
*1926. [Je classe ici un petit buste (de femme)
moulé très sommairement et sans indication d’aucun
détail. H 0.057. Terre d’un rouge clair. Sauf une
éraflure au visage, la pièce est complète. Elle est
solide, percée de haut en bas d’un trou dont le diamètre
est de 0.008. Faut-il voir dans cet objet l’imitation
d’un balsamaire à forme de buste?]
*1927. Balsamaire à forme de singe accroupi, les
bras levés en l’air. Orifice rond au dos. H 0.084.
Façonné à la main avec une terre rose fine à surface
mate et contenant du mica. Pas de peinture. Man-
quent le bras droit et l’avant-bras gauche ainsi que
des parties des pieds. Cf. n° 1904; Furtwaengler,
Vasensamml. Berlin, nos 1313 sq. ; Olympia, IV, n° 81 ;
Aegina, p. 380, n° 68, fig. 311; Thera, II, p. 27, fig. 70;
Maximova, Les vases plastiques (1927), I, p. 115;
II, pl. 14.
*1928. Partie supérieure d’un balsamaire repré-
sentant un pied chaussé d’une sandale. H 0.079.
Sur le plat de l’orifice, rosace à pétales alternative-
ment rouges et noirs. Sur le bord de l’orifice, trois
rosaces pointillées. Au-dessous du col, série de go-
drons contournés, peints tour à tour en noir et en
rouge violacé ; à la base des arcs formant contour,
points blancs. La plaque verticale qui réunit le bord
du goulot avec le pied est décorée d’une palmette,
peinte également en rouge et en noir. Terre rouge
fine, pailletée de mica. Cf. Furtwaengler, Sammlung
Sabouroff, vignette de la pl. 52 ; Musée National d’Athè-
nes, nos 2063 et 2079; Maximova, Les vases plastiques
(1927), I, p. 176; II, pl. 26, n° 99. Pour un type de
balsamaire semblable en bronze, v. ci-dessus, n° 803.
1929 CA. Balsamaire de la forme d’une tête casquée
du type ionien commun, à couvre-joues mobiles qui
cachent les oreilles. Manquent le goulot et l’extré-
mité de la saillie antérieure; la surface a beaucoup
souffert. H 0.066. Terre rouge fine, ne contenant
pas de mica; vernis noir. L’état de conservation ne
permet pas de constater s’il y a eu des ornements
peints. Pour ce type de vase, cf. MA XIV, p. 272 sq. ;
NS 1894, p. 347, fig. 19 (Vetulonia); 1895, p. 182,
fig. 84 (Syracuse); 1902, p. 500, fig. 2 (Sovana);
Heuzey, Catalogue (1923), p. 232, n° 58 (Carie);
AA 1908, p. 180, fig. 14 (Berezanj); Eph. 1917, p. 210,
fig. 20 (Sounion) ; Maximova, Les vases plastiques
(1927), I, p. 153 sq. (où l’on trouvera citées beaucoup
de pièces analogues); II, pl. 20, n° 79; CVA, Copen-
hague, Musée National, pl. 81, n° 4; etc.
1930. Partie supérieure d’un balsamaire sem-
blable qui a été un peu plus grand que le précédent.
H 0.035. Sur le plat de l’orifice, cercle pointillé,
peint en vernis; sur le devant de la saillie antérieure,
qui est extraordinairement haute, deux lignes croisées
entre deux lignes horizontales, toutes peintes en
blanc.
1931. Fragment du côté gauche d’un balsamaire
semblable (avec l’oeil gauche, qui est peint en blanc
et en vernis, et la charnière du couvre-joue). H 0.035.
*1932. Partie inférieure d’un balsamaire assez
grand qui a représenté une tête de lion, béante, la
langue étendue. H 0.06. Terre rouge.
1933. Partie supérieure d’un balsamaire sem-
blable, plus petit. Terre d’un chamois clair. L’ori-
fice se trouve sur le revers, derrière les oreilles.
*1934. Tête de lièvre, fragment d’un balsamaire
d’une exécution très soignée. L 0.034. Terre rouge
fine. La grande pupille peinte en vernis noir brun
est entourée de la sclérotique blanche. Les paupières
sont peintes en vernis, les deux arcs enfoncés du
museau en rouge violacé. La moustache est gravée.
Tout le reste de la surface est couvert d’un pointillé
fin en vernis délayé. Un balsamaire complet, très
semblable à l’exemplaire lindien, est au Musée National
de Copenhague (CVA, pl. 81, n° 14) ; il a été trouvé en
Italie. Pour d’autres exemples de ce type favori de
balsamaire, v. NS 1894, p. 346; Maximova, Les vases
plastiques (1927), I, p. 110; II, pl. 22; etc.
1935 (GD). Fragment d’un balsamaire sem-
blable: partie du corps d’un lièvre. L 0.054. Terre