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Chantre, Ernest
Mission en Cappadoce: 1893 - 1894 — Paris, 1898

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https://doi.org/10.11588/diglit.4617#0209
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DESCRIPTION DES TEXTES

191

être aussi, dans la 9e inscription Midienne, kurzanezon qui pourrait contenir à la rigueur le
nom de TupoTjvo; (comme nom de clan phrygien) sans aller jusqu'à supposer que ces mots, qui
semblent faire partie d'une signature, signifient sans autre : Tvpar,vàt; swv1.

Un mot reste à ajouter sur Siuyvr, qui a servi plus haut de point de départ à nos observa-
tions. Si tel était de fondation l'accent du mot, il va sans dire qu'il n'aurait rien de plus à voir
avec les ethniques que KvXAjîw? ou 'A0>jv«£, mais on trouve de ces déplacements d'accent dans
les ethniques quand l'origine est oubliée : cf. Aiv§v(j.yivsi (Jiznp pour Aivdvy:nv/i et la Mo1-/ivyi xWr<
de Mysie chez Hérodote qui est presque évidemment aussi pour M«W. Cela sans insister d'ail-
leurs sur l'importance de Stpywi.

Ferdinand de Saussure.

1 Que le nom des Tursènes sous sa forme la plus authentique ait pu commencer par un K, c'est ce que
rend presque probable le nom de l'île de Corse — ayant eu pour premiers colons des Tyrrhéniens— et
dont le nom latin de Cors-ïca se trouve dans le même rapport avec Ku'pvoç (pour Kupa-v-oç, comme
TtTÉova pour TtTspïva) que Tuscus, c'est-à-dire *Turs-ïcos avec Tuo-r-âvoç : les deux cas sont caractérisés
par un suffixe en n, évidemment indigène, que le latin, pour une raison ou pour une autre, laisse de
côté. — Que d'autre part le kurzanezon de l'inscription admette dix explications avant celle-là, c'est
ce qui va non moins sans dire. En par.iculier, comme on a dans les inscriptions Mid. 2 et 5 :

Baba.memevais..k'jii(z)anavezos__edaes, il ne peut être que naturel de penser que kurzanezon,

venant après le mot en -n atanizen, est l'accusatif d'une certaine espèce de mots en -ezo- dont le nomi-
natif figure dans 2 et 5. Ce qui ne rendrait pas au reste forcément absurde le rapprochement des
Tursènes. [Pour koiz-anavezos il est impossible de ne pas songer à la contrée phrygienne d'"Àvaua,
ce qui donnerait donc la tribu, ou le lieu d'origine de l'individu. Ailleurs nous nous occuperons d'examiner
si le phrygien ne confond pas dans Z une lettre pour z et une lettre pour jod : hurzanejon et kaifjj-
anavejos.']

resque
au moins

uraents existais,
c'est avant d'être
is étions disposéà

comme désignant

siman

, soit petit-

dernier, sonorise

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