PROMENADE SUR LA SOÜMTDA, ESTAMPE EN COULEURS PAR C H O K I
(Collection Henri Rouart.)
YKISIII, Cirokl, H O K OU SA 1
PAVOTS
ESTAMPE EN COULEURS
PAR HOKOUSAÏ
(Musée du Louvre.)
cependant une personnalité liés
qui pourraient même parfois a
L’époqun d’Oula.ma.ro, qui avail
fait l’an dernier le sujet de l’ex-
position d’estampes japonaises1,
n’avait pu être représentée en
entier; aussi trouvons-nous cette
année, à côté des œuvres d’Hokou-
saï, celles de deux brillants con-
temporains du peintre des Maisons
vertes : Yeishi et Choki2. Tous
deux, bien qu’ayant subi forte-
ment l’influence d’Outamaro, ont
distincte et une originalité propre
oir réagi sur l’art rie leur célèbre
rival.
Yeishi3 avait été d'abord l’élève de Kano Yeisen, puis fut ensuite
influencé par l’école des Torii; il commença à produire vers 1780 et
fut, dès 1790, alors que Kiyonaga ne produisait presque plus, un
1. Voir la Gazette des Beaux-Arts de mars -1912, p. 199.
2. Exposition ouverte au Pavillon de Marsan du 7 janvier au 13 février.
MM. Paul Vignier, J. Lebel et inada, qui en préparent le catalogue, ont bien
voulu nous prêter les traductions qu’ils ont faites de certaines légendes japo-
naises; nous tenons à les en remercier, ainsi que M. Longuet qui a favorisé l’illus-
tration de cet article.
3. D’après Hayashi, son nom de famille était Hoçoda et son petit nom Tomi-
sambouro.
(Collection Henri Rouart.)
YKISIII, Cirokl, H O K OU SA 1
PAVOTS
ESTAMPE EN COULEURS
PAR HOKOUSAÏ
(Musée du Louvre.)
cependant une personnalité liés
qui pourraient même parfois a
L’époqun d’Oula.ma.ro, qui avail
fait l’an dernier le sujet de l’ex-
position d’estampes japonaises1,
n’avait pu être représentée en
entier; aussi trouvons-nous cette
année, à côté des œuvres d’Hokou-
saï, celles de deux brillants con-
temporains du peintre des Maisons
vertes : Yeishi et Choki2. Tous
deux, bien qu’ayant subi forte-
ment l’influence d’Outamaro, ont
distincte et une originalité propre
oir réagi sur l’art rie leur célèbre
rival.
Yeishi3 avait été d'abord l’élève de Kano Yeisen, puis fut ensuite
influencé par l’école des Torii; il commença à produire vers 1780 et
fut, dès 1790, alors que Kiyonaga ne produisait presque plus, un
1. Voir la Gazette des Beaux-Arts de mars -1912, p. 199.
2. Exposition ouverte au Pavillon de Marsan du 7 janvier au 13 février.
MM. Paul Vignier, J. Lebel et inada, qui en préparent le catalogue, ont bien
voulu nous prêter les traductions qu’ils ont faites de certaines légendes japo-
naises; nous tenons à les en remercier, ainsi que M. Longuet qui a favorisé l’illus-
tration de cet article.
3. D’après Hayashi, son nom de famille était Hoçoda et son petit nom Tomi-
sambouro.