SAINTE JUSTINE » DE LA COLLECTION BAGATTI-VALSECCHI 469
peintres en ont eu deux ou trois, que la pratique apprend aisément
à connaître, quitte à contrôler la première impression par l’examen
des détails. Mais, chez Giambellino, la variété des types est dérou-
tante, ce qui explique que jusqu’à Gavalcaselle et Morelli, et même
jusqu’à ce jour, on ait imposé d’autres noms que le sien à nombre
IX. — 4' PÉRIODE. 01
Si l’on a mis du temps à pixmoncer le nom de Bellini, c’est que,
plus qu’aucun autre, cet artiste a sans cesse varié ses types. D’autres
LA MADONE ET L’ENFANT, PAR GIOVANNI BELLINI
(Musée de Bergame.)
peintres en ont eu deux ou trois, que la pratique apprend aisément
à connaître, quitte à contrôler la première impression par l’examen
des détails. Mais, chez Giambellino, la variété des types est dérou-
tante, ce qui explique que jusqu’à Gavalcaselle et Morelli, et même
jusqu’à ce jour, on ait imposé d’autres noms que le sien à nombre
IX. — 4' PÉRIODE. 01
Si l’on a mis du temps à pixmoncer le nom de Bellini, c’est que,
plus qu’aucun autre, cet artiste a sans cesse varié ses types. D’autres
LA MADONE ET L’ENFANT, PAR GIOVANNI BELLINI
(Musée de Bergame.)