4 Recueil des Machines
bestan par une charniere, de maniere que ce levier se peut
1713. baisser en pesant sur son extrêmité I, & se relever au moyen
N°.i40. du ressort HL. Cettemachine agit en appliquant des hom-
" mesauxbarres 0,M,N,P, qui faisanttourner le cabestan
font aussi tourner le rouleau , lequel est arrêté contre le
cabestan par le levier FI, appliqué contre une des che-
villes du rouleau ; par conséquent la corde se garnit sur le
rouleau, ôc lemoutonest ôlevélelong du montantVY.Le
mouton étant à sa plus grande élévation, shomme placé à
l’endroit O de la barre, pese sur Fextrêmité I du levier ôc
le fait baisser. La pointe du rouleau échappe au talon du
levierqui leretenoit, ôc pourlors lemouton tombe&frap-
pe sur le pilot Z, avec toute la force dont il est capable;
ensuite on laisse échapper le levier, ôc le ressort H le releve
& rencontre une autre cheville , qui joint de nouveau le
rouleau au cabestan ; ôc ainsi succeïïivement : d’où ii suit
que cette machine peut travailler sans perte de temps ôc
frapper dix coups contre deux de la machine où l’on est
obligé d’accrocher les moutons. Les oreillesT,S, servent
pour diriger le mouton le longdu montant V Y.
Fig. III. La iigure troiïïeme est le plan de la machine.
bestan par une charniere, de maniere que ce levier se peut
1713. baisser en pesant sur son extrêmité I, & se relever au moyen
N°.i40. du ressort HL. Cettemachine agit en appliquant des hom-
" mesauxbarres 0,M,N,P, qui faisanttourner le cabestan
font aussi tourner le rouleau , lequel est arrêté contre le
cabestan par le levier FI, appliqué contre une des che-
villes du rouleau ; par conséquent la corde se garnit sur le
rouleau, ôc lemoutonest ôlevélelong du montantVY.Le
mouton étant à sa plus grande élévation, shomme placé à
l’endroit O de la barre, pese sur Fextrêmité I du levier ôc
le fait baisser. La pointe du rouleau échappe au talon du
levierqui leretenoit, ôc pourlors lemouton tombe&frap-
pe sur le pilot Z, avec toute la force dont il est capable;
ensuite on laisse échapper le levier, ôc le ressort H le releve
& rencontre une autre cheville , qui joint de nouveau le
rouleau au cabestan ; ôc ainsi succeïïivement : d’où ii suit
que cette machine peut travailler sans perte de temps ôc
frapper dix coups contre deux de la machine où l’on est
obligé d’accrocher les moutons. Les oreillesT,S, servent
pour diriger le mouton le longdu montant V Y.
Fig. III. La iigure troiïïeme est le plan de la machine.