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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 3.1713/​19(1735) [Cicognara, 917C]

DOI Heft:
Recueil des Machines Année 1716
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No. 174
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https://doi.org/10.11588/diglit.30636#0173
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APPROUVÉES PAR. l’AcADÉMIE. 87

TROISIEME CLAVECIN —

A MAILL ETS>

I N V E N T É

P A R M. M A R I U S.

CE qu’il y a de particulier dans ce clavecin est , que Planchk
le sautereau comme AB porte une cheville C qui m.
frappe les- cordes en-dessous, de même que les maiilets Fig. II.
que l’on a décrits précédemment. A quelque endroit au-
tour de la cheville est un morceau d’étoffe pour dtouffer
le son , comme on le pratique aux autres clavecins.

L’extrêmité A du sautereau ess posée sur le bout de la
touche EF G, dont le centre de mouvement est en F. II
ess nécessaire que ce centre soit le plus' près qu il sera
possible de sextrêmité G, afin que le sautereau retombe
avec plus de promptitude après avoir frappé les cordes ;
par ce moyen on aura un son plus net. L’on voit par la
premierefigure Farrangement que doivent avoir entre eux
ces sortes de sautereaux.

L’avantage d’un clavecin construit de sautereaux sem-
blables est, que la sujétion de les remplumer se trouve
supprimée.

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