APPROUVÉES PAR l’AcADÉMIE. 101
»)KXMMMMXXX=MMMXXXMXMX=X»X « 7 » <f.
N°.i 80.
M AC H I N E —
A VANNER LES GRAINS,
INVENTEE
PAR M. LE BARON DE KNOPPERF.
LE grain que Ton veut vanner ,se jettedansla tremîe pJG j
A *, ce grain coule dans î’auget B, & ensuite retom- ^ 11. '
be entre les deux volets C, D. Le premier C est pour bor-
ner l’espace de la vanne, &c le volet D s’oppose au mé~
îange qui se feroit de la paille & du mauvais grain avec
le bon ; Touverture E sert à tirer le grain de la boîte à
mesure qu’on le jette dans la tremie A qui est portée par
les quatre tremions i ,2, 3,4,
L’arbre auquel les ailes sont attachées, est porté par les
deux montans G, H, dans lesquels cet arbre peut tourner
librement au moyen de la manivelle M. La coupe inté-
rieure de Barbre qui porte les ailes, est représentée en pro-
fil ; l’extrêmité I est quarrée ; & lorsque Farbre tourne sur
lui-même , ses angles en tournant attrappent le bout N du
levier LN attaché au montant G, le centre de mouve-
ment étant en P, moyennant quoi sautre extrêmité L du
levier qui tient à l’auget B par une corde, imprime des
saccades à l’auget, suspendu par quatre cordes aux tré-*
mions.
On conçoit de cette méchanique que l’arbre en tour-
nant fera faire aux ailes un vent proportionné à la vîtelse
que l’on lui imprimera, & que par le mouvement de l’au-
get, le bled étant chassé vers le bas, la paille & le reste du
supersiu en seraséparé par ie mouvement des aiies.
Fig. III.
»)KXMMMMXXX=MMMXXXMXMX=X»X « 7 » <f.
N°.i 80.
M AC H I N E —
A VANNER LES GRAINS,
INVENTEE
PAR M. LE BARON DE KNOPPERF.
LE grain que Ton veut vanner ,se jettedansla tremîe pJG j
A *, ce grain coule dans î’auget B, & ensuite retom- ^ 11. '
be entre les deux volets C, D. Le premier C est pour bor-
ner l’espace de la vanne, &c le volet D s’oppose au mé~
îange qui se feroit de la paille & du mauvais grain avec
le bon ; Touverture E sert à tirer le grain de la boîte à
mesure qu’on le jette dans la tremie A qui est portée par
les quatre tremions i ,2, 3,4,
L’arbre auquel les ailes sont attachées, est porté par les
deux montans G, H, dans lesquels cet arbre peut tourner
librement au moyen de la manivelle M. La coupe inté-
rieure de Barbre qui porte les ailes, est représentée en pro-
fil ; l’extrêmité I est quarrée ; & lorsque Farbre tourne sur
lui-même , ses angles en tournant attrappent le bout N du
levier LN attaché au montant G, le centre de mouve-
ment étant en P, moyennant quoi sautre extrêmité L du
levier qui tient à l’auget B par une corde, imprime des
saccades à l’auget, suspendu par quatre cordes aux tré-*
mions.
On conçoit de cette méchanique que l’arbre en tour-
nant fera faire aux ailes un vent proportionné à la vîtelse
que l’on lui imprimera, & que par le mouvement de l’au-
get, le bled étant chassé vers le bas, la paille & le reste du
supersiu en seraséparé par ie mouvement des aiies.
Fig. III.