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Académie des Sciences <Paris> [Hrsg.]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 3.1713/​19(1735) [Cicognara, 917C]

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Recueil des Machines Année 1718
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No. 209
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https://doi.org/10.11588/diglit.30636#0348
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Recueii. des Machïnes; ip?

M A C H I N E —

P O U R

ATTIRER DES FARDEAUX»

INPENTÉE

P A R M. A L I X.

CEtte machinc est renfermée dans un bâtis de cbar- j?1G# jo
pente AB ; elle consiste en deux treuils CD,EF,
l’un horîzontal, l'autre vertical ; ce dernier auquel est at-
taché le fardeauQ, ôc qui peut tourner sur lui-même,
porte une roue de chan S T taillée en rochet, dans laquelle
engrenent deux cliquets ON, PR qui sont adaptés au
cylindre horizontal par des charnieres. Ce même cylindre
porte deux pendules X V qûe l’on fait mouvoir; l’é-
trier LI H qui embrasfe le cylindre C , sert à portes
l’arbre EF.

Pour concevoir le mouvement de cette machine, îi Fig. I,
faut d’abord remarquer que ies cliquets NO,PR engre-
nent d’une façon diametralement opposée, c’est-à-dire ,
que quand la puiiïance Y fait faire aux pendules la vi-
bration Xjy, c’est le cliquet P R qui tire ôc qui fait tour*-
ner ia roue ; pendant ce temps, l’autre cliquet qui est à
charniere a sséchi à ce mouvement pour reprendre une au-
tre dent, dans laquelJe il est tombé par son propre poids ;
le pendule achevant donc sa vibration d*y Xen r, pour
lors le cliquetON tire & l’autre sséçhit ainsi alternative*»
ment; d’où il suit que cette machine , quoique longue à
opérer, travaüle toujours sans perte de temps, ôc que i’on
Rcc. des Machines» Tome III, B b
 
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