APPROUVÉES P AR L*A CADÉMIE, p
dérant maintenant ensemble les deux mouvemens que ■
font parcourir à A une ligne double de celle que parcourt 1713.
P, le demi-cercle BIF en se développant sur FG fait par* N°. 142.
courir à A la moitié du chemin qu’ii doit faire, qui est égal --
à PQ, pendant que la demi- circonférence BHF dans son
développement iui en fait faire autant. Donc ii y a deux
mouvemens égaux chacun à celui du centre P , qui se fai-
sant en même-temps par les développemens des deux de-
mi - circonférences BHF , BIF , donnent au point A une
vîtessedoublede celle de P, Ôtluifontconséquemmentpar-»
courir un double espace.
II en sera de même si l’on met plusseurs cercîes sous la Fig. IV»
ligne AD que nous regarderons maintenant comme un
corps soiide , & les cercles comme des cyiindres.
Dans susage ordinaire des rouleaux piacés sous un far-
deau que son veut attirer , l’on sait que ces rouleaux ne
se maintiennent paraileles que très-dlfficilement pendant
leur mouvement, quelques soinsque l’cn y apporte.Pour re^
médier à cet inconvénient, on attache à leur centre despi-
vots ou boulons qui sont joints aux extrêmités par une châ-
pe, ce qui les entretient toujoursparalleles, comme on le
voit dans la quatrieme figure, Outre sinconvénient ci-
dessus il s’en trouve encore d’autres.
i°. On ne peutmettre que 2, 3 , ou 4 rouleauxdessbusle Fig. V.
traîneau ordinaire, ce qui est cause que le fardeau ne por-
tant que sur un petit nombre de rouleaux , presse en raison
de son poids ; ôt si ce poids est considérable, la matiere
des rouleaux, qui n’est que de bois , se trouvant trop foi-
ble s’écrase, & ces rouleaux deviennent ovales, & par
conséquent ontune difficulté très-senssble à rouler.
Si son suppose au contraire que ces rouleaux soient Fig. VI.
d’une matiere plus dure que le traîneau, pour lors ils
s’enfonceront dans les parties du traîneau où ils touçhent
& y formeront des cavités; pour le dégager il faudra ne-
çessairement que le fardeau s’éleve , & c'est ce qui fait
Jicc, dcs Machines, Tome III, B
dérant maintenant ensemble les deux mouvemens que ■
font parcourir à A une ligne double de celle que parcourt 1713.
P, le demi-cercle BIF en se développant sur FG fait par* N°. 142.
courir à A la moitié du chemin qu’ii doit faire, qui est égal --
à PQ, pendant que la demi- circonférence BHF dans son
développement iui en fait faire autant. Donc ii y a deux
mouvemens égaux chacun à celui du centre P , qui se fai-
sant en même-temps par les développemens des deux de-
mi - circonférences BHF , BIF , donnent au point A une
vîtessedoublede celle de P, Ôtluifontconséquemmentpar-»
courir un double espace.
II en sera de même si l’on met plusseurs cercîes sous la Fig. IV»
ligne AD que nous regarderons maintenant comme un
corps soiide , & les cercles comme des cyiindres.
Dans susage ordinaire des rouleaux piacés sous un far-
deau que son veut attirer , l’on sait que ces rouleaux ne
se maintiennent paraileles que très-dlfficilement pendant
leur mouvement, quelques soinsque l’cn y apporte.Pour re^
médier à cet inconvénient, on attache à leur centre despi-
vots ou boulons qui sont joints aux extrêmités par une châ-
pe, ce qui les entretient toujoursparalleles, comme on le
voit dans la quatrieme figure, Outre sinconvénient ci-
dessus il s’en trouve encore d’autres.
i°. On ne peutmettre que 2, 3 , ou 4 rouleauxdessbusle Fig. V.
traîneau ordinaire, ce qui est cause que le fardeau ne por-
tant que sur un petit nombre de rouleaux , presse en raison
de son poids ; ôt si ce poids est considérable, la matiere
des rouleaux, qui n’est que de bois , se trouvant trop foi-
ble s’écrase, & ces rouleaux deviennent ovales, & par
conséquent ontune difficulté très-senssble à rouler.
Si son suppose au contraire que ces rouleaux soient Fig. VI.
d’une matiere plus dure que le traîneau, pour lors ils
s’enfonceront dans les parties du traîneau où ils touçhent
& y formeront des cavités; pour le dégager il faudra ne-
çessairement que le fardeau s’éleve , & c'est ce qui fait
Jicc, dcs Machines, Tome III, B