APPROUVÉES PAR l’AcADÉMIE. I47
transport; & ces commodités pourront servir à plusieurs
ateliers sun après l’autre, 1717-
N°« i88#
V I. —.
Le grand secret pour faciliter le transport par voitures
roulantes , c est en faisant des chemins neufs, ou en réta-
biissant les vieux, de mettre les meilleurs pavés aux mon-
tagnes & dans'les autres pentes d’un sur trente , & plus
roides. <° r ie faire dans ces endroits le passsage des roues
le p u.., que faire se peut.
RÉPONSES A DEUX OBJECTIONS
qui ont etè faites sur le rètablissèment
gènèral des chemins.
PREMIERE OBJECTIO N.
Quil n’y auroit pas assez de cailloux, ôc quilyadeâ
cndroits où il n’y en a point du tout.
RÊ P O N S E.
Cette objeèlion au lieu d’être contraire à cette mâniere
de paver les chemins, lui est très-favorable ; car s’il n'y a
guères de matériaux, il faut préférer la maniere qui en em-
ploie le moins à celles qui en emploient le plus.
Que peut-on faire de moins que de paver le passage des
deux roues des voitures, comme je le propose ?
Quant aux cndicolts ov» îl n'y a poinL dc tiKtt^llUUA, cuA
sent-ils vingt lieues d’étendue, on y en peut porter à peu
de frais ; car supposé ce cas - ci, qui est un peu outré, le
moyen transport du caiilou n y seroit que de cinq lieuesj
Ti]
transport; & ces commodités pourront servir à plusieurs
ateliers sun après l’autre, 1717-
N°« i88#
V I. —.
Le grand secret pour faciliter le transport par voitures
roulantes , c est en faisant des chemins neufs, ou en réta-
biissant les vieux, de mettre les meilleurs pavés aux mon-
tagnes & dans'les autres pentes d’un sur trente , & plus
roides. <° r ie faire dans ces endroits le passsage des roues
le p u.., que faire se peut.
RÉPONSES A DEUX OBJECTIONS
qui ont etè faites sur le rètablissèment
gènèral des chemins.
PREMIERE OBJECTIO N.
Quil n’y auroit pas assez de cailloux, ôc quilyadeâ
cndroits où il n’y en a point du tout.
RÊ P O N S E.
Cette objeèlion au lieu d’être contraire à cette mâniere
de paver les chemins, lui est très-favorable ; car s’il n'y a
guères de matériaux, il faut préférer la maniere qui en em-
ploie le moins à celles qui en emploient le plus.
Que peut-on faire de moins que de paver le passage des
deux roues des voitures, comme je le propose ?
Quant aux cndicolts ov» îl n'y a poinL dc tiKtt^llUUA, cuA
sent-ils vingt lieues d’étendue, on y en peut porter à peu
de frais ; car supposé ce cas - ci, qui est un peu outré, le
moyen transport du caiilou n y seroit que de cinq lieuesj
Ti]