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ÙBER EIN HERRSCHAFTSSYMBOL
f^n A^ww <^^> C±p\a q j^v
Bin i Si! i i i £ £1 i
@ Si) 1 Ja nt- ^e ]'eune prince, qui va essayer d'atteindre la fenêtre de la
princesse, dit à ses camarades : « Je vais conjurer mes jambes, » ce qui donne ici un
sens bien fondé.
VI, 5. On doit lire l_t\~ *
vt.8.;|.'41.^(]Y|;au contraire, VI," 12,on lit ^'t^f. '
VI, 9. J ("",s:=e "
(?)
AA/VW\
VI, 10. Je lis (j^f)^1^^^^™^^6^ etc- M.Masperoasupplée
( v&, ce qui paraît sûr.
VI, 11.
aaaaaa
A A
(?) • ^ i <czr> c= v xi.^. - t.—/i j _ _ A <3> l/yfr ^ \\ (â
( ^\ r-^-, . Ainsi il y a correspondance complète dans l'expression avec l'ordre du
prince de Naharanna.
aaa/wv
VI, 13. d^J) i\ -tk **; sous J) est une tache d'encre; le \\
dans n'est pas visible, mais il est demandé par le contexte et le sens, et la place
suffit pour l'insérer. M. Maspero avait déjà suppléé
VI, 14. Quoique la forme hiératique du I soit un peu étrange, je lis I J7 '
VI 15 ç\
PÙ$ ^ . Au-dessus de <=> qui est certain, on voit des traces, que je ne puis dé-
chiffrer. Les signes que j'ai mis entre crochets comblent précisément les lacunes.
passage peut être lu sur l'original : « Je ne passerai pas une heure en vie plus que
» lui. »
VII, 6-7. A |v k ^(7)*-
VII, 8. Ici j'ai réussi à remplir une lacune. Je lis, après
T^l^^/^l^ûûP ûû'<^<^ @ « Elle serrait à garder son mari
I la jiujtk J»li c _M^n ^ 11—^—i \\ ri n a ss a ± n <r*=^ dPi 5.
)) scrupuleusement. » Pour la construction, cf. Vil, 4 : (, @' I ^ iïj I U%^$f-
VIII, 3. Pour (j^fl^H, lire '
Copenhague, août 1898.
ÙBER EIN HERRSCHAFTSSYMBOL
VON
A. Jacoby
In der Hand vieler in der Malerei und Plastik dargestellten Figuren findet sich ein
eigentumlicher Gegenstand, dessen Deutung die folgende Notiz versucht. Es handelt
ÙBER EIN HERRSCHAFTSSYMBOL
f^n A^ww <^^> C±p\a q j^v
Bin i Si! i i i £ £1 i
@ Si) 1 Ja nt- ^e ]'eune prince, qui va essayer d'atteindre la fenêtre de la
princesse, dit à ses camarades : « Je vais conjurer mes jambes, » ce qui donne ici un
sens bien fondé.
VI, 5. On doit lire l_t\~ *
vt.8.;|.'41.^(]Y|;au contraire, VI," 12,on lit ^'t^f. '
VI, 9. J ("",s:=e "
(?)
AA/VW\
VI, 10. Je lis (j^f)^1^^^^™^^6^ etc- M.Masperoasupplée
( v&, ce qui paraît sûr.
VI, 11.
aaaaaa
A A
(?) • ^ i <czr> c= v xi.^. - t.—/i j _ _ A <3> l/yfr ^ \\ (â
( ^\ r-^-, . Ainsi il y a correspondance complète dans l'expression avec l'ordre du
prince de Naharanna.
aaa/wv
VI, 13. d^J) i\ -tk **; sous J) est une tache d'encre; le \\
dans n'est pas visible, mais il est demandé par le contexte et le sens, et la place
suffit pour l'insérer. M. Maspero avait déjà suppléé
VI, 14. Quoique la forme hiératique du I soit un peu étrange, je lis I J7 '
VI 15 ç\
PÙ$ ^ . Au-dessus de <=> qui est certain, on voit des traces, que je ne puis dé-
chiffrer. Les signes que j'ai mis entre crochets comblent précisément les lacunes.
passage peut être lu sur l'original : « Je ne passerai pas une heure en vie plus que
» lui. »
VII, 6-7. A |v k ^(7)*-
VII, 8. Ici j'ai réussi à remplir une lacune. Je lis, après
T^l^^/^l^ûûP ûû'<^<^ @ « Elle serrait à garder son mari
I la jiujtk J»li c _M^n ^ 11—^—i \\ ri n a ss a ± n <r*=^ dPi 5.
)) scrupuleusement. » Pour la construction, cf. Vil, 4 : (, @' I ^ iïj I U%^$f-
VIII, 3. Pour (j^fl^H, lire '
Copenhague, août 1898.
ÙBER EIN HERRSCHAFTSSYMBOL
VON
A. Jacoby
In der Hand vieler in der Malerei und Plastik dargestellten Figuren findet sich ein
eigentumlicher Gegenstand, dessen Deutung die folgende Notiz versucht. Es handelt