Le poème de Pentaoue.
89
L. 15.
K. 11.
L. 15.
K. 12.
K. 12.
LE P0È1TE DE PENTAOUE.
PAR
le Vicomte J. de Rougé.
(Suite '.)
j
c=±^ 0^3 §|§|j
bu uah-f tes tem ân-t-s em (taif) ua nai- &en
II n'avait pas laissé une nation (qu')il n'eut amenée en (son) chemin, leurs
K. 11.
PHI a-\^_ <~=>v//////^ s==> A<z_=>yjy;> i l i
werw «tt hnâ-f sa'2 neb yer(taif) nte hetar (Au-sen) â§u
chefs étaient avec lui, chacun avec (leurs) chars. (Ils étaient) nombreux
\\m
hebes-3 sen £mm 4
Ils couvraient les montagnes,
P. L. 7.
L. 15.
1
ooo
-=4*v— jjtk^8—
àn-t-uh mà (senehemu)6 mâ1 âëu-sen bu9, uah-f3 hat'1(1
les vallées comme des sauterelles par leur nombre. Il ne laissa pas argent
1 Voir le n° IV de la 3e année.
- m, homme, personne, est devenu préfixe en copte dans les noms de métier : ca-iuotR, boulanger;
cxitoTO^, marchand de légumes, et dans les qualificatifs : co.nuj<\!x_e, bavard-, cmikotc, menteur, etc.
3 hebes, couvrir, vêtir. Cf. oêcoc, vestis. A rapprocher de t'zb, induit vestem, ^J : t!N2, signifie:
pudor et êhuj, nudus.
4 tuu, montagne; cf. toot, mons.
5 àn-t, vallée, est ici en opposition avec tuu, montagne.
6 JïfrV^^' saneJ-iem> sauterelle; c'est l'hébreu : DP?D (Lévit. 11, 22). L7 a passé à Vn,
comme nous l'avons déjà vu plus haut, et le àin à Vh.
1 ma, ici l'acception de prœ : cette particule a toutes les acceptions de l'ablatif latin.
s bu, négation, comme len. Cf. ?S, nîhil; à rapprocher également : eûnA, nisi.
9 l^A^f' Ua^' ^sser' Poser- pf- ot.\o , deponere. P-uah semble vouloir dire : le reste. Ainsi (Dumichen,
T. IV. 89, 10) dans les recettes de YAnta, après avoir employé une première quantité dUAv-ta on dit :
□
o Mo et plus loin : X m : «est pour le reste de l'Anta etc.» (J. R.)
A □ .JlfflO □ A □ a™000|Î\ 1
10 hat, ci. o_i\t, argentum.
12
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LE P0È1TE DE PENTAOUE.
PAR
le Vicomte J. de Rougé.
(Suite '.)
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c=±^ 0^3 §|§|j
bu uah-f tes tem ân-t-s em (taif) ua nai- &en
II n'avait pas laissé une nation (qu')il n'eut amenée en (son) chemin, leurs
K. 11.
PHI a-\^_ <~=>v//////^ s==> A<z_=>yjy;> i l i
werw «tt hnâ-f sa'2 neb yer(taif) nte hetar (Au-sen) â§u
chefs étaient avec lui, chacun avec (leurs) chars. (Ils étaient) nombreux
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hebes-3 sen £mm 4
Ils couvraient les montagnes,
P. L. 7.
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àn-t-uh mà (senehemu)6 mâ1 âëu-sen bu9, uah-f3 hat'1(1
les vallées comme des sauterelles par leur nombre. Il ne laissa pas argent
1 Voir le n° IV de la 3e année.
- m, homme, personne, est devenu préfixe en copte dans les noms de métier : ca-iuotR, boulanger;
cxitoTO^, marchand de légumes, et dans les qualificatifs : co.nuj<\!x_e, bavard-, cmikotc, menteur, etc.
3 hebes, couvrir, vêtir. Cf. oêcoc, vestis. A rapprocher de t'zb, induit vestem, ^J : t!N2, signifie:
pudor et êhuj, nudus.
4 tuu, montagne; cf. toot, mons.
5 àn-t, vallée, est ici en opposition avec tuu, montagne.
6 JïfrV^^' saneJ-iem> sauterelle; c'est l'hébreu : DP?D (Lévit. 11, 22). L7 a passé à Vn,
comme nous l'avons déjà vu plus haut, et le àin à Vh.
1 ma, ici l'acception de prœ : cette particule a toutes les acceptions de l'ablatif latin.
s bu, négation, comme len. Cf. ?S, nîhil; à rapprocher également : eûnA, nisi.
9 l^A^f' Ua^' ^sser' Poser- pf- ot.\o , deponere. P-uah semble vouloir dire : le reste. Ainsi (Dumichen,
T. IV. 89, 10) dans les recettes de YAnta, après avoir employé une première quantité dUAv-ta on dit :
□
o Mo et plus loin : X m : «est pour le reste de l'Anta etc.» (J. R.)
A □ .JlfflO □ A □ a™000|Î\ 1
10 hat, ci. o_i\t, argentum.
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