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Revillout et Wilcken.
N° 3. Ostr. Wiedemann 24 (Karnak).
xowuai) àiu6[w(tpaç) xai ÈTrap(oopioo)
Mus. P. 323.
Auaticjuoç Ai§6({jloo)
xal 'A|JL(à))vcç lupdx^opsç)
àpy(opw^ç) 3EXs^(avuVYjç) 5ià ^orfl(oô).
AtsYp(a^sv) MTjVo^tX(oç)
[ieiC((dv) sOp(3(aeî&oç) ^(Tpôç) Ttaà(aoç)
aiu(èp) {JL£pia(|JLQô) gy.qtz(. .)4 i(3j5
*J§, xai sApic(a7jatç) owç
6ir(èp) [AEpta(fJioô) gxotc(. .)
MsX(ip) C
}2r/< ,1...6
N° 5. Ostr. Wiedemann 186 (Karnak).
AtaY£Ypd(9TQ7tsv) ÏÏSTsadffyifç) X£[xav
[6]ir(èp) \oLoy(prjLyia.ç,) %Lj_ -juévce
/ )- ts, ncd iupoa8(taYpay(5[JLSva) eJ . . L xa
Ttp£pioo Kabapoç 2£paatoù
Oa{is(và)8) %Y- • • • ^(0 • • •
! Je dois la connaissance de cette tessère à l'amabilité extrême de M. Wiedemann à Bonn, qui m'a
envoyé, il y a quelques semaines, toute sa collection d'ostraca grecs pour les étudier à Berlin. Les mêmes
impôts se trouvent, comme je vois maintenant, aussi dans l'ostracon du Mus. Brit. 12623, publié par M. Re-
villout et moi dans cette Bévue, IV, p. 184. La deuxième ligne, que je ne pus pas déchiffrer alors (cf. a . .
. . . ip«(. . . .) vaU Oatprjç) est à lire : a<7U)[i.0((paç) xaî £7iap(oup(ou) v«L_ $ocTpf)ç. (W.)
2 Scil. Spa^fiaç. (W.)
3 Ici le chiffre démotiqne '2_.2L/\«168 argenteus» représente très exactement le chiffre grec y'xÇ
3360 drachmes payées le 11 Phaophi et non le total général. (E. E.)
4 L'impôt encore inconnu sur le « <ncojt(. . .) » se rencontre quelquefois sur les ostraca de Thèbes. (W.)
3 \ n'est pas moins que L la sigle du mot hoc. (W.)
6 C'est le nom du sekel ou tétradrachme ; mais les deux signes qui suivent sont un peu douteux
dans la copie. Cependant je crois qu'il faut lire {«un sekel» et y voir le correspondant des
i drachmes de l'avant-dernière ligne du grec. Nous avons établi depuis longtemps que le sekel
égyptien était le tétradrachme ptolémaïque, cinquième de l'argenteus outen. (e. R.)
7 ii me paraît que les 15 drachmes mentionnées plus haut devaient être un à compte complété dans
Revillout et Wilcken.
N° 3. Ostr. Wiedemann 24 (Karnak).
xowuai) àiu6[w(tpaç) xai ÈTrap(oopioo)
Mus. P. 323.
Auaticjuoç Ai§6({jloo)
xal 'A|JL(à))vcç lupdx^opsç)
àpy(opw^ç) 3EXs^(avuVYjç) 5ià ^orfl(oô).
AtsYp(a^sv) MTjVo^tX(oç)
[ieiC((dv) sOp(3(aeî&oç) ^(Tpôç) Ttaà(aoç)
aiu(èp) {JL£pia(|JLQô) gy.qtz(. .)4 i(3j5
*J§, xai sApic(a7jatç) owç
6ir(èp) [AEpta(fJioô) gxotc(. .)
MsX(ip) C
}2r/< ,1...6
N° 5. Ostr. Wiedemann 186 (Karnak).
AtaY£Ypd(9TQ7tsv) ÏÏSTsadffyifç) X£[xav
[6]ir(èp) \oLoy(prjLyia.ç,) %Lj_ -juévce
/ )- ts, ncd iupoa8(taYpay(5[JLSva) eJ . . L xa
Ttp£pioo Kabapoç 2£paatoù
Oa{is(và)8) %Y- • • • ^(0 • • •
! Je dois la connaissance de cette tessère à l'amabilité extrême de M. Wiedemann à Bonn, qui m'a
envoyé, il y a quelques semaines, toute sa collection d'ostraca grecs pour les étudier à Berlin. Les mêmes
impôts se trouvent, comme je vois maintenant, aussi dans l'ostracon du Mus. Brit. 12623, publié par M. Re-
villout et moi dans cette Bévue, IV, p. 184. La deuxième ligne, que je ne pus pas déchiffrer alors (cf. a . .
. . . ip«(. . . .) vaU Oatprjç) est à lire : a<7U)[i.0((paç) xaî £7iap(oup(ou) v«L_ $ocTpf)ç. (W.)
2 Scil. Spa^fiaç. (W.)
3 Ici le chiffre démotiqne '2_.2L/\«168 argenteus» représente très exactement le chiffre grec y'xÇ
3360 drachmes payées le 11 Phaophi et non le total général. (E. E.)
4 L'impôt encore inconnu sur le « <ncojt(. . .) » se rencontre quelquefois sur les ostraca de Thèbes. (W.)
3 \ n'est pas moins que L la sigle du mot hoc. (W.)
6 C'est le nom du sekel ou tétradrachme ; mais les deux signes qui suivent sont un peu douteux
dans la copie. Cependant je crois qu'il faut lire {«un sekel» et y voir le correspondant des
i drachmes de l'avant-dernière ligne du grec. Nous avons établi depuis longtemps que le sekel
égyptien était le tétradrachme ptolémaïque, cinquième de l'argenteus outen. (e. R.)
7 ii me paraît que les 15 drachmes mentionnées plus haut devaient être un à compte complété dans