Le poème de Pentaour.
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kamasa pa-uer en Kirkasa1 pen yirba
kemisch, le prince de Kirkasch, celui de Alep,
p.s.iv, 7. '7"!""^ ° 2 SX <B^m
L. 40.
K. 35.
m
na-sennu2 en pen yetâ (à)u-sen em bu uà temet*
les alliés de ce Khéta, ils sont dans un seul lieu ensemble
P. s. IV, 7.
Cjtc (3(3(3—n |
Xi (5(5 AAAAAA
L. 41.
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41 «—o\\
K. 35. f\. T —ji-'S ^
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%emet em y a en tôt en hetaru iu em âkA en heru er
trois de mille de nombre de chars. Il vint au milieu d'eux plus
P. s. IV, 8.
L. 41.
K. 35.
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III (3
Y///////////A
n I I I
ta-yut'1 mâsi-nâ1* er-sen àu-d mù mentu tu-â
que la flamme. Je conduisis vers eux : j'étais semblable à Mont : j'ai fait
1 Abydos a conservé les deux noms entiers : ^ ^ J H H rv/Ay1^>^ jj^ ^ || ^ TMM.r^^n.
AAAAAA iii no, ^, . 0
le
2 s , sGïiTiu «alliés, compagnons». Racine : ^ , sera «deux», cn&ir. D'où || ,
second», puis :^«le prochain, le compagnon, l'ami, etc.» De là encore : «un autre.» Ex. (Pap. Boulaq
16, 11) : «Ne regarde pas ce que fait un autre.» Ensuite : sera «frère», cott; d'où : P 1 P I,
S Cl n AAAAAA W2 A AAAAAA AAAAAA
serasew «fraterniser, faire alliance» (Ex. : Traité des Khétas avec Ramsès, 1. 10) et y Srsil, senraw «les
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alliés». — Sensen paraît aussi avoir le sens de secundus «favorable, prospérité». Ainsi : Pap. Boulaq 20, 1:
(3 ^ «(Si) tu t'es trouvé bon au temps de la prospérité, la misère étant venue, tu te trouveras
(capable) de la supporter. » (E. de Rouge, DicL, mss.)
3 em bu uâ temet «réunis ensemble». (Cf. Louqsor, 1. 32.) — Le papyrus a une tournure de phrase
un peu différente : na sennu pen /était er t'er-u temet em bu uà àu sen etc. «les alliés de ce Khéta au complet
sont réunis ensemble : ils sont 2500 chars». Le papyrus a ici confondu ce chiffre avec le même donné
plus haut. (Voir P. S. III, 9.)
4 • ak «milieu». (Voir Louqsor, 1. 17.) Cf. wkkoht, cômplacere», em ak, er ak «au milieu».
? yut, s'écrit quelquefois |^ «flamme, feu». Cf. rcoçt, ignis : x^SLi ^ï^Çj flamma.
~rr~ XN, mâsi, au propre signifie «apporter quelque chose». Ainsi à Karnak dans un tableau
A
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1 Abydos a conservé les deux noms entiers : ^ ^ J H H rv/Ay1^>^ jj^ ^ || ^ TMM.r^^n.
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16, 11) : «Ne regarde pas ce que fait un autre.» Ensuite : sera «frère», cott; d'où : P 1 P I,
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(3 ^ «(Si) tu t'es trouvé bon au temps de la prospérité, la misère étant venue, tu te trouveras
(capable) de la supporter. » (E. de Rouge, DicL, mss.)
3 em bu uâ temet «réunis ensemble». (Cf. Louqsor, 1. 32.) — Le papyrus a une tournure de phrase
un peu différente : na sennu pen /était er t'er-u temet em bu uà àu sen etc. «les alliés de ce Khéta au complet
sont réunis ensemble : ils sont 2500 chars». Le papyrus a ici confondu ce chiffre avec le même donné
plus haut. (Voir P. S. III, 9.)
4 • ak «milieu». (Voir Louqsor, 1. 17.) Cf. wkkoht, cômplacere», em ak, er ak «au milieu».
? yut, s'écrit quelquefois |^ «flamme, feu». Cf. rcoçt, ignis : x^SLi ^ï^Çj flamma.
~rr~ XN, mâsi, au propre signifie «apporter quelque chose». Ainsi à Karnak dans un tableau
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