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L' art: revue hebdomadaire illustrée — 16.1890 (Teil 2)

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Tables du quarante-neuvième volume de L'Art
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TABLES DU TEXTE.

M. Joseph Stevens, 225. — L’École hollandaise et néerlan-
daise : Les envois de MUe Thérèse Schwartze, M”>» Hen-
riette Ronner, MUo Gérardine van de Sande Bakhuysen,
Mmes Geesje Mesdag van Calcar, Adrienne van Hogendorp-
S’ Jacob, Mlle C. S. van Hoorn, 226. Mlles Aletta Boelen,
Anna Abrahams , Mme Sientje Mesdag van Houten.
MM. Adolphe Artz, Willem Roelofs, P. J. C. Gabriel, 227.
MM. Julius van de Sande Bakhuysen, Jacob et Willem
Maris, Anton Mauve, Blommers, Bisschop, 228. MM. Gerke
Henkes, Kaemmerer, de Haas, David et Pierre Oyens,
Sadée, Charles Storm van S’Gravesande, Elchanon Ver-
veer, Taco Mesdag, Pieter Stortenbeker, Albert Neuhuys,
Hubert Vos, Hendrik Willem Mesdag, 229. Les aquarelles
de MM. Josef Israels, Johannes Bosboom, Blommers, Bis-
schop, Artz, Gabriel, Mauve, H. W. Mesdag, W. Roelofs,
Hubert Vos, H. J. Weissenbruch, Albert Neuhuys, Charles
Rochussen, Mme S. Mesdag, Mlles Alida Stolk, Thérèse
Schwartze, 23o. — Les envois du Danemark : MM. Viggo
Johansen, Peter Severin Krœyer, Mlle Bertha Wegman, 232.
— La Norvège représentée par MM. Erik Werenskiold, Fritz
Thaulow, Christian Skredsvig, Gerhard Munthe, Frithjof
Smith-Hald, Adelsteen Normann, W. Peters, Christian
Krohg, Nils Gude, Johannes Grimelund, Hans Heyerdahl,
Anders Zorn, Richard Bergh, Auguste Hagborg, Cari Lars-
son, Allan Osterlind, Hugo Salmson, Alfred Wahlberg,
Nils Forsberg. Conclusion, 23q.

La Sculpture, par Félix Naquet. — Quelques mots sur
la sculpture française. Les principaux envois : M. Puech,
sa statue la Sirène; M. Falguière, la Femme au paon, 3. Le
buste en bronze de M. Lavoix, par M. Gérôme ; son marbre,
Tanagra. De M. Pierre Rambaud, une Nymphe des bois ;
de M. Roulleau, Léda; de M. Jean Escoula, la Mort de
Procris; de M. Gauquié, Brennus; de M. Chapu, Monu-
ment funéraire, 4. MM. Christophe, Coutan, Delaplanche,
Barrias, Albert-Lefeuvre, Boucher, 5. MM. Croisy, Dou-
blemard, Fossé, Mme Laure Coutan, MM. Nelson, Frémiet,
Chemin, Geoffroy, Dumilatre, 6.

Sculptures de Solesmes et l’Ecole de Tours (Les), par L. A.

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Bossebœuf. — Vieille légende qui a été l’explication donnée
pendant longtemps au sujet de l’origine des « saints de So-
lesmes». Conjectures souvent invraisemblables pour l’attri-
bution de ces statues. Les artistes à qui elles furent attri-
buées, 211. Le transept méridional de l’église. Les diverses
statues et décorations, leur style tendant à faire attribuer
ces oeuvres au sculpteur français Michel Colombe, 212. Ses
collaborateurs, Bastien Françoys, Guillaume Régnault,
Jehan de Chartres, 2i3. Jérôme Pascherot. Documents
d’une netteté indiscutable qui permettent de fixer l’époque
de l’érection du prieuré de Solesmes. Quelques mots sur
Michel Colombe, 214. Son groupe la Mise au tombeau, sa
Madeleine, 21 5. Notes complémentaires sur cet artiste. La
chapelle Notre-Dame-la-Belle. Le bras nord du transept
avec ses trois magnifiques portiques et ses chapelles rem-
plies de statues, 216. Conjectures sur les auteurs de ces
chefs-d’œuvre, 217. L’Ensevelissement de la Vierge, le Tré•
passement de la Vierge. Description du portique du côté
droit de ce meme transept, 218. Les deux groupes : Jésus
au milieu des docteurs de la loi et l’Apothéose de la Vierge,
219. Le Couronnement de la Vierge par le Sauveur. Con-
clusion, 220.

Statue d’Henri IV, de Francheville, au chateau de Pau
(La), par Paul Lafond. — Notice sur la statue équestre
d’Henri IV au Pont-Neuf. Jean de Bologne. Francheville,
ses œuvres, 145. Description de la statue élevée à Pau, son
emplacement, son historique, 146.

Tableau du roi René au Musée de Villeneuve-lès-Avignon
(Le), par l’abbé Requin. — Situation et ancienne prospérité
de la ville de Villeneuve. Fondation du Musée. Divers noms
donnés au tableau, 25. Complexité du sujet. Explication.
Pourquoi ce tableau fut attribué au roi René, puis à Jean
Van Eyck et à Jean Van der Meire, 26. Courte dissertation
sur l’École flamande et l’École française, 27. Les divers
points de ressemblance du tableau avec l’École flamande.
Contrat nous apprenant que ce tableau fut exécuté par
Enguerrand Charonton en 1453, 28. Incertitudes sur la fin
de cet artiste, 29.
 
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