APPROUVËES PAR l’AcADÉMJE; 137
I V.
/ N°.i 88»
Àutre maniere de concevoir les obllacles que forment ——
les cahots aux roues de cinq pieds & demi.
Si nous supposons la force d’un cheval capable d élever
un poids de trois çens livres, & que ce cheval soit attelé
à une charrette qui pese deux muids de vîn ou douze cens
livres, alors ce cheval tirera par dessus les cahots.
™ t. - : <r muids de vin»
d 1 ligne . » • • * 0 • > .1
11.° . a muids.
j i» . . 2 muids.
s* îê neS 1 ï muid.
de 4 lignw. I muid.
f 8 hs .. la charrette à vuide.
de 12 lignes.
Si nous mettons quatre chevaux à la même charrette 9
alors ces quatre chevaux tireront par dessus les cahots.
6 muids.
4 muids.
2 muids.
o la charrette à vuide.
V.
& 1 pouce ......
d’ 1 pouce 8 lignes . . .
de 3 pouces 6 Jignes . . .
de p pouces 8 lignes . • .
Dans le pavé de route, l’on trouve fréquemment des
places enfoncées de deux à trois pieds en quarré, des pavés
élevés & des pavés enfoncés, & enfîn tous les pavés ébués^
ce qui rend les joints en long fort large.
Les deux premiersincidens peuvent être corrigés par le
soin des Paveurs, mais Von ne peut remédier au troiüeme
que par une nouvelle maniere de paver, ou en éiargissant
lesroues assez, pour qu ellesn’entrentpoint dansces jointsa
Rcc, dcs Mackines, Tqme IIÏ, S
/
I V.
/ N°.i 88»
Àutre maniere de concevoir les obllacles que forment ——
les cahots aux roues de cinq pieds & demi.
Si nous supposons la force d’un cheval capable d élever
un poids de trois çens livres, & que ce cheval soit attelé
à une charrette qui pese deux muids de vîn ou douze cens
livres, alors ce cheval tirera par dessus les cahots.
™ t. - : <r muids de vin»
d 1 ligne . » • • * 0 • > .1
11.° . a muids.
j i» . . 2 muids.
s* îê neS 1 ï muid.
de 4 lignw. I muid.
f 8 hs .. la charrette à vuide.
de 12 lignes.
Si nous mettons quatre chevaux à la même charrette 9
alors ces quatre chevaux tireront par dessus les cahots.
6 muids.
4 muids.
2 muids.
o la charrette à vuide.
V.
& 1 pouce ......
d’ 1 pouce 8 lignes . . .
de 3 pouces 6 Jignes . . .
de p pouces 8 lignes . • .
Dans le pavé de route, l’on trouve fréquemment des
places enfoncées de deux à trois pieds en quarré, des pavés
élevés & des pavés enfoncés, & enfîn tous les pavés ébués^
ce qui rend les joints en long fort large.
Les deux premiersincidens peuvent être corrigés par le
soin des Paveurs, mais Von ne peut remédier au troiüeme
que par une nouvelle maniere de paver, ou en éiargissant
lesroues assez, pour qu ellesn’entrentpoint dansces jointsa
Rcc, dcs Mackines, Tqme IIÏ, S
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