approuvées par l*AcaDsMïE. ï$3
re îe côté L étant garni de la chaine roulée sur eet ar-
bre, pendant que le bout X du petit treuil est de'garni, 1718.
ii suit que cette cuiiiier est remontée, & rend sa vase. N^.ipa.'
Le ponton proposé n’a qu’une roue soutenue de la mê- l93'
me maniere que la grande roue du ponton ordinaire. La l'94r
roue de ce nouveau ponton porte à ses extrêmités deux *.9 5*
roues dentées ou pignons E; chacun de ces pignons en- pLANCHE<
grene dans une cremaiüere telle que R posée sur un rou-
leau de bronzeF ; ce rouleau est supporté par un petit as- fiç, ï#
semblage de charpente 2, 3 , 4, $ , 6, qui peut se hausser
& baisser par le moyen d’un tenon ou coin quel’onen-
fonce dans la mortaise K, ce qui sert à faire engréner
ou desengréner le pignon dans la cremaillere : cette cre-
maillere sera plus ou moinslongue, suivant la profondeur
à laquelle on voudra atteindre.
La cremaillere pontftuée G H est dans Yétat où elle
doit être lorsqu’elle a élevé la cuillier en engrénant dans
le pignon E ; la cremaillere R est représentée lorsqu’elle
n’engrene plus ,& qu’elle est entraînée par le poids de la
çuillier quand elle tombe pour labourer.
La cuillier S est saisie par le bas demême que lescuil-
Jiers dont on se sert dans les anciennes machines ; la chaL
ne qui les retient pastse auiïi sur une poulie D, & vient se
fixer àl’extrêmité de la cremaiilere. A l’autre bout est une
chaîne qui paiïe sur une semblable poulie, & qui porte un
poid L qui fàit une compensation d’une partie du poids de
la cuillier, lorsqu’on l’éleve.
Le manche de la cuillier est garni de deuxboiïesl une
P, amarrde sur le taquet N, afin d’assiijettir la cuillier lors-
qu’elle laboure ; & l’autre boiïe Q sert à la suspendre en
fàisant deux tours de ce cordage sur une cbeville fixée au
plat-bord derriere le point Q ; & tenant à la main I e bout
de cette boiïe, on fait descendre cette cuillier plus ou
moins.
Le cordage T att aché au taquet V * que l’on lache avec
Xij
re îe côté L étant garni de la chaine roulée sur eet ar-
bre, pendant que le bout X du petit treuil est de'garni, 1718.
ii suit que cette cuiiiier est remontée, & rend sa vase. N^.ipa.'
Le ponton proposé n’a qu’une roue soutenue de la mê- l93'
me maniere que la grande roue du ponton ordinaire. La l'94r
roue de ce nouveau ponton porte à ses extrêmités deux *.9 5*
roues dentées ou pignons E; chacun de ces pignons en- pLANCHE<
grene dans une cremaiüere telle que R posée sur un rou-
leau de bronzeF ; ce rouleau est supporté par un petit as- fiç, ï#
semblage de charpente 2, 3 , 4, $ , 6, qui peut se hausser
& baisser par le moyen d’un tenon ou coin quel’onen-
fonce dans la mortaise K, ce qui sert à faire engréner
ou desengréner le pignon dans la cremaillere : cette cre-
maillere sera plus ou moinslongue, suivant la profondeur
à laquelle on voudra atteindre.
La cremaillere pontftuée G H est dans Yétat où elle
doit être lorsqu’elle a élevé la cuillier en engrénant dans
le pignon E ; la cremaillere R est représentée lorsqu’elle
n’engrene plus ,& qu’elle est entraînée par le poids de la
çuillier quand elle tombe pour labourer.
La cuillier S est saisie par le bas demême que lescuil-
Jiers dont on se sert dans les anciennes machines ; la chaL
ne qui les retient pastse auiïi sur une poulie D, & vient se
fixer àl’extrêmité de la cremaiilere. A l’autre bout est une
chaîne qui paiïe sur une semblable poulie, & qui porte un
poid L qui fàit une compensation d’une partie du poids de
la cuillier, lorsqu’on l’éleve.
Le manche de la cuillier est garni de deuxboiïesl une
P, amarrde sur le taquet N, afin d’assiijettir la cuillier lors-
qu’elle laboure ; & l’autre boiïe Q sert à la suspendre en
fàisant deux tours de ce cordage sur une cbeville fixée au
plat-bord derriere le point Q ; & tenant à la main I e bout
de cette boiïe, on fait descendre cette cuillier plus ou
moins.
Le cordage T att aché au taquet V * que l’on lache avec
Xij