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Académie des Sciences <Paris> [Editor]
Machines et inventions approuvées par l'Académie Royale des Sciences depuis son établissement jusqu'à présent — 3.1713/​19(1735) [Cicognara, 917C]

DOI issue:
Recueil des Machines Année 1718
DOI article:
No. 196-198
DOI Page / Citation link:
https://doi.org/10.11588/diglit.30636#0299
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ÀPÎ’ROUVÉES P AR l’ÀCADÏMIE.

M A C H I N E

P 0 U R

i(?7

J7,g.

N°. ip<?.
1.97-

Ip8.

NETTOYER LES PORTS. 1

PLANCHE

I.

Fig. I.

CEtte machine est portée par deux bateaux AA, B
D, joints ensemble à un de leurs bords A A, pour y
former une plate-forme sur laquelle les chevaux (quiser-
vent d’agent) font tourner la roueM, étant attelésàdes
leviers fixés à son arbre. Cette roue engrene dans une
lanterne L dont l’arbre est posé horisontalement; & à sex-
trêmité opposée à celie-ci est une seconde lanterne G,
semblable à la premiere. La lanterne G engrene & fait
tourner la grande roue EF, qui porte des dents posées
perpendiculairement sur sa circonférence. Cette roue est
garnie de ses coffres i, 2,3,4 >5)6, espacéssur sa cir-
conférence à distances égales. Ces coffres sont construits
de même que celui de la figure II qui va être expli-
-quée.

L’essieu de la roue E F est porté par ses extrêmités sur
sses coussinets comme H, emboîtés entre les deux mon-
tans N , O, le long desquels iis se meuvent ; ce qui se
fait par ie moyen des vis I, I, qui entrent dans des écrous
faits à chaque coussinet. Ces vis servent à faire descendre
& monter la grande roue EF , en appliquant une puis-
sance P à la manivelle qui fait tourner la roue Q au bas
des vis I, I.

Le coffre a est tout de fer , & ssa qu’un fond b qui Fig. ÏL
s’ouvre par le moyen du ressort c, Ôt îe ferme par lon
propre poids iorsqu’ii se trouve dans une dire£tion verti-
cale cornme le deuxieme coffre de la premiere flgure. Ce
 
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