j£g Recueil des Machines
... cofFre a deux charnieres un anneau afin de
ï7i80 l’attacher solidement contre la charpente de la roue aux
N°. ij^. endroits oà on voit les autres placés. Le bec h faci-
ipy, lite l’entrée du cofFre dans la vase, ôc lalame de fer Ik
15)8. recourbée sert à retenir leresFort, ôc empêcher qu’ii ne
-s’écarte.
F ig* L Les poids R, S , sont attachés à des cordes qui passent
sur des poulies placées entre les traverses T V ; les autres
bouts de ces cordes vont se fixer aux oreilles des cous-
sinets H ; ces poids soulagent d’autant la puisfance applL
quée en P, lorsqu’elle travailie à faire monter cette ouer.
La machine agit, comme on a déja dit, en atteiant
des chevaux à la barre Cjleur mouvement fait tourner
la roue M qui engrene dans la lanterne L , ensemble ia
lanterneopposée G qui engrene dans ies dents placées aux
côtés de Ja grande roue E F. Pendant ce teinps les hom-
mes appliqués aux maniveiles P fontdescendre cette roue ,
qui tournant toujours, trois de ses cofFres entrent suc -
ceslivement dans la vase, ôc ensuite les mêmes puissan-
ces appliquées aux maniveiles P faisant remonter la roue,
le cinquieme coffre, par exemple, se trouve hors de l’eau
Ôc rencontre une espece de boîte coupée qui se meut
horisontalement au moyen de deux pouiies qui sont en-
tre ies barres de fer x, y ; cette demi-boîte suit précisé-
^ 0y e\ ment le coifre, parce qu’elie est tirée par des poids tels
1 anche que Y, qui lui font faire un frottement contre le coff're;
Planche en^ n I e resfort O K du même cofFre étant arrivé à la dé-
tente 8 K pese sur la queue K du resfort, lequel fait tom-
bet le fond du coffre, ôc par conséquent la vase qu’il re-
tenoit, dans la demi-boîte, qui la conduit au bateau placé
au bout de la machine.
L’on s’est servi autrefoîs de cette machîne; mais parce
qu’on a trouvé depuis quelque chose de plus simple, com-
me celles dont on se sert a&uellement dans les ports de
Brest ôc de Tonion^ on a négligé l’usagedc ceiie-ci> non
seulement;
... cofFre a deux charnieres un anneau afin de
ï7i80 l’attacher solidement contre la charpente de la roue aux
N°. ij^. endroits oà on voit les autres placés. Le bec h faci-
ipy, lite l’entrée du cofFre dans la vase, ôc lalame de fer Ik
15)8. recourbée sert à retenir leresFort, ôc empêcher qu’ii ne
-s’écarte.
F ig* L Les poids R, S , sont attachés à des cordes qui passent
sur des poulies placées entre les traverses T V ; les autres
bouts de ces cordes vont se fixer aux oreilles des cous-
sinets H ; ces poids soulagent d’autant la puisfance applL
quée en P, lorsqu’elle travailie à faire monter cette ouer.
La machine agit, comme on a déja dit, en atteiant
des chevaux à la barre Cjleur mouvement fait tourner
la roue M qui engrene dans la lanterne L , ensemble ia
lanterneopposée G qui engrene dans ies dents placées aux
côtés de Ja grande roue E F. Pendant ce teinps les hom-
mes appliqués aux maniveiles P fontdescendre cette roue ,
qui tournant toujours, trois de ses cofFres entrent suc -
ceslivement dans la vase, ôc ensuite les mêmes puissan-
ces appliquées aux maniveiles P faisant remonter la roue,
le cinquieme coffre, par exemple, se trouve hors de l’eau
Ôc rencontre une espece de boîte coupée qui se meut
horisontalement au moyen de deux pouiies qui sont en-
tre ies barres de fer x, y ; cette demi-boîte suit précisé-
^ 0y e\ ment le coifre, parce qu’elie est tirée par des poids tels
1 anche que Y, qui lui font faire un frottement contre le coff're;
Planche en^ n I e resfort O K du même cofFre étant arrivé à la dé-
tente 8 K pese sur la queue K du resfort, lequel fait tom-
bet le fond du coffre, ôc par conséquent la vase qu’il re-
tenoit, dans la demi-boîte, qui la conduit au bateau placé
au bout de la machine.
L’on s’est servi autrefoîs de cette machîne; mais parce
qu’on a trouvé depuis quelque chose de plus simple, com-
me celles dont on se sert a&uellement dans les ports de
Brest ôc de Tonion^ on a négligé l’usagedc ceiie-ci> non
seulement;