APPRGUVÉES PÂR l’ÀCADÉMIE. l6ç
seuîement à cause des grandes sujettions qu’elle demande. *
mais encore à cause de la dureté de ses mouvemensà fai- 1718.
re tourner, descendre ôt monter presque dans le même- N°. i<?8*
temps une roue de 30 pieds de diametre qui fait un bras --—
de levier considérable, au bout duquel ess: le poids de la
vase. Tous ces inconvéniens forment des oblîacles qu’on
ne peut vaincre sans beaucoup de peine, sur-tout quand
on est obligé de travailler dans des fonds qui ont de la te-
nacité. On peut ajouter encore que cette machinenepour-
ra être propre que dans des ports peu profonds, puis-
qsseiie ne sauroit enfoncer plus que son rayon, qui est
de 1 j pieds. En calculant son effort, on trouve que la
sorce d’un cheval y fait équilibre avec une résistance (Je
43 7 livres, comme on le verra par le caîcul suivanto
C A L G U L.
Considdrant la barre Ç comme une roue , lon nomme
r , la force qui lui est appliquée , p rayon de la roue M,
que l’on regarde comme agissant direâement contre l.a
grande roueEF , les lanternes L, G, étant parfaitement
égales. L’on nomme f, la force du coffre, n rayon du
coffre, & S le rayon de la grande roue, depuis ses dents
jusqu’à son centre : on aura eette proportion, pn: rs ::m :
s En nombre; l’on suppose, r==6 pouces,p=2. S= 1 y 9
Parla proportion ci-dessus 18x2=36,pour pre-»
mier terme & 1 jx6=po pour le second, m= 173 effort
d’un cheval en tirant de force continue , qui sera îe
troisieme terme ; tout cela forme la proportion sui-
vante 36. 90 :: 17 ÿ.—*La regle étant faite donneræ
437 ~, qui sera la quantitéde vase nécestaire pour faire
équilibre avec l’effort d’un cheval. On augmentera ensuite
le moteur seion le besoin.
Hec, dcs JMicLçhines? TüMii ÎII0 Y
seuîement à cause des grandes sujettions qu’elle demande. *
mais encore à cause de la dureté de ses mouvemensà fai- 1718.
re tourner, descendre ôt monter presque dans le même- N°. i<?8*
temps une roue de 30 pieds de diametre qui fait un bras --—
de levier considérable, au bout duquel ess: le poids de la
vase. Tous ces inconvéniens forment des oblîacles qu’on
ne peut vaincre sans beaucoup de peine, sur-tout quand
on est obligé de travailler dans des fonds qui ont de la te-
nacité. On peut ajouter encore que cette machinenepour-
ra être propre que dans des ports peu profonds, puis-
qsseiie ne sauroit enfoncer plus que son rayon, qui est
de 1 j pieds. En calculant son effort, on trouve que la
sorce d’un cheval y fait équilibre avec une résistance (Je
43 7 livres, comme on le verra par le caîcul suivanto
C A L G U L.
Considdrant la barre Ç comme une roue , lon nomme
r , la force qui lui est appliquée , p rayon de la roue M,
que l’on regarde comme agissant direâement contre l.a
grande roueEF , les lanternes L, G, étant parfaitement
égales. L’on nomme f, la force du coffre, n rayon du
coffre, & S le rayon de la grande roue, depuis ses dents
jusqu’à son centre : on aura eette proportion, pn: rs ::m :
s En nombre; l’on suppose, r==6 pouces,p=2. S= 1 y 9
Parla proportion ci-dessus 18x2=36,pour pre-»
mier terme & 1 jx6=po pour le second, m= 173 effort
d’un cheval en tirant de force continue , qui sera îe
troisieme terme ; tout cela forme la proportion sui-
vante 36. 90 :: 17 ÿ.—*La regle étant faite donneræ
437 ~, qui sera la quantitéde vase nécestaire pour faire
équilibre avec l’effort d’un cheval. On augmentera ensuite
le moteur seion le besoin.
Hec, dcs JMicLçhines? TüMii ÎII0 Y