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J. DE ROUGÉ.
P. L. 2.
L. 12.
K. 9.
Juin hon-f §em-ux en her-f ma âtef mentu neb uas-t
voici que S. M. marcha en avant comme son père Mont, Seigneur (Te Thèbcs;
P. L. 3.
L. 12.
K. 9.
t'a-f'1 maëup nie Arunata4 em p-menfiu tepi en Amen
il traversa la vallée de l'Oronte avec la légion première d'Ammon
P. L. 3.
L. 12.
K. 10.
P. L. 3.
L. 12.
K. 10.
ma-f neyt-tu-u s. y. lia user ma setep en lia a. u. s. (se-ra) Ramessu meri Amen
qui donne les victoires au Roi fils du soleil, Eamsès Meriamen 5
1 t&
1 i
A
I
r
â. u. s. un àn hon-f â. u. s. er sper^ p-timâ àstu V-ffiv
étant S. M. dans l'action de s'approcher de la ville, voici que le (chef) vil
1 sem. Le papyrus du Louvre donne la forme complète
5F*
,---J><j ou quelcpiefois seulement | A t'a, au propre : traverser en barque-, puis en général :
ta-masut, la plaine (?). Ce mot se retrouve plus loin (K. 13, L. 17) dans la phrase
traverser, parcourir. Cf. stmiop, transfretare, transire.
p-menfiu en pe-Râ lier t'a ta-masut n sabetun. Ce mot paraît différent de suti, canal ; peut - être
serait-ce avêujojt, campus? Ma fait partie du radical, car t'a, traverser, ne se construit pas avec la particule
ma, et dans le second exemple l'article du féminin ta existe avant le mot. Brugscii (Dict., p. 616) met ce
mot en relation avec la racine s_a, couper; copte ujcot, d'où ujêt, canal du Nil, et le traduit par:
«canal où l'on peut naviguer » (V). (J. E.)
1 U faut remarquer la variante du papyrus pour le nom du fleuve Oronte : Am-ata, au lieu de Aranta.
5 C'est le nom spécial de ce corps d'armée; le papyrus du Louvre conserve ici une phrase entière
qui est détruite sur les textes monumentaux.
0 A, sper, arriver, parvenir, s'approcher. Ex. : Pap. d'Orbiney, 4, 2
A
J. DE ROUGÉ.
P. L. 2.
L. 12.
K. 9.
Juin hon-f §em-ux en her-f ma âtef mentu neb uas-t
voici que S. M. marcha en avant comme son père Mont, Seigneur (Te Thèbcs;
P. L. 3.
L. 12.
K. 9.
t'a-f'1 maëup nie Arunata4 em p-menfiu tepi en Amen
il traversa la vallée de l'Oronte avec la légion première d'Ammon
P. L. 3.
L. 12.
K. 10.
P. L. 3.
L. 12.
K. 10.
ma-f neyt-tu-u s. y. lia user ma setep en lia a. u. s. (se-ra) Ramessu meri Amen
qui donne les victoires au Roi fils du soleil, Eamsès Meriamen 5
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â. u. s. un àn hon-f â. u. s. er sper^ p-timâ àstu V-ffiv
étant S. M. dans l'action de s'approcher de la ville, voici que le (chef) vil
1 sem. Le papyrus du Louvre donne la forme complète
5F*
,---J><j ou quelcpiefois seulement | A t'a, au propre : traverser en barque-, puis en général :
ta-masut, la plaine (?). Ce mot se retrouve plus loin (K. 13, L. 17) dans la phrase
traverser, parcourir. Cf. stmiop, transfretare, transire.
p-menfiu en pe-Râ lier t'a ta-masut n sabetun. Ce mot paraît différent de suti, canal ; peut - être
serait-ce avêujojt, campus? Ma fait partie du radical, car t'a, traverser, ne se construit pas avec la particule
ma, et dans le second exemple l'article du féminin ta existe avant le mot. Brugscii (Dict., p. 616) met ce
mot en relation avec la racine s_a, couper; copte ujcot, d'où ujêt, canal du Nil, et le traduit par:
«canal où l'on peut naviguer » (V). (J. E.)
1 U faut remarquer la variante du papyrus pour le nom du fleuve Oronte : Am-ata, au lieu de Aranta.
5 C'est le nom spécial de ce corps d'armée; le papyrus du Louvre conserve ici une phrase entière
qui est détruite sur les textes monumentaux.
0 A, sper, arriver, parvenir, s'approcher. Ex. : Pap. d'Orbiney, 4, 2
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