REVUE ÉGYPTOLOGIQUE
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE
M. EUGÈNE REVILLOUT.
ERNEST LEROUX, ÉDITEUR
libraire de la société asiatique, de l'école des langues orientales vivantes, etc. etc.
28, BUE BONAPARTE, 28, A PABIS.
VIe Volumi. nos m—IV. 1891.
La REVUE EGYPTOLOGIQUE paraît tous les trois mois par numéros de six feuilles au moins, avec
planches, fac-similé etc. — Aucun numéro ne se vend séparément.
Prix de Vabonnement annuel : Paris 30 fr. — Départements 31 fr. — Etranger 32 fr.
Sommaire : Le poème de Pentaour (suite), (Vicomte J. de Rouge). — Leçon d'ouverture prononcée à l'École du Louvre, le lundi
19 décembre 18S7 (fin), (E. R.). — Des donations d'enfants à l'époque copte (suite), (Fkançois de Villenoist). —
La reine Cléopatre invoquée dans le serment de Berlin (E. R.). ■— TJne importante découverte. Papyrus contenant le
célèbre discours inédit d'Hypéride contre Athénogène (E. R.).
LE POÈME DE PENTA0I7K.
PAB
le Vicomte J. de Rougé.
(Suite.)
k. 43. |IM*Qû \n u
nr
AA/V\AA
" 11 i i
AAAAAA
I I M I I,
àu-àher fer au uah kax en tef-â àmen ha-tu-â2
J'étais à combattre, portant la personne de mon père Ammon, commandant
p. s. vi, 7. T^koll^ls
l. 50. WÊÊÊÈTA\Z-
k. 43.
Ci \\
lier Jcame mâ tef (tef-)u-à nti bu ptàr-u yaru
sur l'Egypte comme mes pères, que ne virent pas les Syriens.
1 U, uah ka est employé comme formule de serment, «Que le nom agrandisse!» (Brugsch,
345). Ici le sens est : « Je o,nmT>a.t.tn.is
DicL, 345). Ici le sens est : «Je combattais par la personne de mon père Ammon.»
2 <^>^^^^)' ha *crier, ordonner, commander». Le papyrus présente la variante plus courte : «com-
mandant à l'Egypte comme mon père Ea.»
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PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE
M. EUGÈNE REVILLOUT.
ERNEST LEROUX, ÉDITEUR
libraire de la société asiatique, de l'école des langues orientales vivantes, etc. etc.
28, BUE BONAPARTE, 28, A PABIS.
VIe Volumi. nos m—IV. 1891.
La REVUE EGYPTOLOGIQUE paraît tous les trois mois par numéros de six feuilles au moins, avec
planches, fac-similé etc. — Aucun numéro ne se vend séparément.
Prix de Vabonnement annuel : Paris 30 fr. — Départements 31 fr. — Etranger 32 fr.
Sommaire : Le poème de Pentaour (suite), (Vicomte J. de Rouge). — Leçon d'ouverture prononcée à l'École du Louvre, le lundi
19 décembre 18S7 (fin), (E. R.). — Des donations d'enfants à l'époque copte (suite), (Fkançois de Villenoist). —
La reine Cléopatre invoquée dans le serment de Berlin (E. R.). ■— TJne importante découverte. Papyrus contenant le
célèbre discours inédit d'Hypéride contre Athénogène (E. R.).
LE POÈME DE PENTA0I7K.
PAB
le Vicomte J. de Rougé.
(Suite.)
k. 43. |IM*Qû \n u
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AAAAAA
I I M I I,
àu-àher fer au uah kax en tef-â àmen ha-tu-â2
J'étais à combattre, portant la personne de mon père Ammon, commandant
p. s. vi, 7. T^koll^ls
l. 50. WÊÊÊÈTA\Z-
k. 43.
Ci \\
lier Jcame mâ tef (tef-)u-à nti bu ptàr-u yaru
sur l'Egypte comme mes pères, que ne virent pas les Syriens.
1 U, uah ka est employé comme formule de serment, «Que le nom agrandisse!» (Brugsch,
345). Ici le sens est : « Je o,nmT>a.t.tn.is
DicL, 345). Ici le sens est : «Je combattais par la personne de mon père Ammon.»
2 <^>^^^^)' ha *crier, ordonner, commander». Le papyrus présente la variante plus courte : «com-
mandant à l'Egypte comme mon père Ea.»
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