ALBERT BELLEROCHE
mortes précieuses par la discrétion des reflets qu’allume dans
l’ombre la lueur qui défaille, enfin une suite de nus dont la volupté
forte sut intéresser naguère Degas et Rodin...
Au reste., moins importe peut-être le thème élu que la technique
suivie : elle est d’un maître. Une boutade, devenue lieu commun,
PORTRAIT, LITHOGRAPHIE ORIGINALE DE M. A. BELLEROCHE
long des tempes, en ondes crénelées. Ne s’agit-il plus seulement de
visages qui émergent de l’obscurité ou qui s’épanouissent parmi le
rayonnement du jour, l’attrait vient alors du libre jet des silhouettes,
du naturel de la pose aisée, exempte de retenue vaine. Puis se
mêlent, au hasard, quelques souvenirs de la campagne, des natures
mortes précieuses par la discrétion des reflets qu’allume dans
l’ombre la lueur qui défaille, enfin une suite de nus dont la volupté
forte sut intéresser naguère Degas et Rodin...
Au reste., moins importe peut-être le thème élu que la technique
suivie : elle est d’un maître. Une boutade, devenue lieu commun,
PORTRAIT, LITHOGRAPHIE ORIGINALE DE M. A. BELLEROCHE
long des tempes, en ondes crénelées. Ne s’agit-il plus seulement de
visages qui émergent de l’obscurité ou qui s’épanouissent parmi le
rayonnement du jour, l’attrait vient alors du libre jet des silhouettes,
du naturel de la pose aisée, exempte de retenue vaine. Puis se
mêlent, au hasard, quelques souvenirs de la campagne, des natures