BAS-RELIEF PAR AUGUSTIN PAJOU
SUR UNE IMPOSTE DU REZ-DE-CHAUSSÉE DK LA CHANCELLERIE D'ORLÉANS
(RUE DE VAI.OIS)
L’HÔTEL DE LA CHANCELLERIE D’ORLÉANS A PARIS
PORTAIL D’ ENTRÉE
DK LA CHANCELLERIE DORLEANS
RUE DES BONS-ENFANTS
XII. — 4# PÉRIODE.
Si l’on consulte les ou-
vrages qui décrivent les rues
et les maisons de Paris, de
Germain Brice au marquis
de Rochegude, on demeure
surpris du peu de renseigne-
ments nouveaux qu’ont ap-
portés les écrivains venus
après le descripteur primitif.
Les textes se sont transmis
de l’un à l’autre, abrégés par-
fois, rarement augmentés,
sans être soumis à la critique,
sans recherches originales, et
pour une foule de bâtiments
nous n’en savons pas plus que
ceux qui s’en sont occupés
les premiers. L’exemple est
typique de ce portail à co-
lonnes doriques et à fronton
de Saint-Louis-en-l’Ile « élevé
SUR UNE IMPOSTE DU REZ-DE-CHAUSSÉE DK LA CHANCELLERIE D'ORLÉANS
(RUE DE VAI.OIS)
L’HÔTEL DE LA CHANCELLERIE D’ORLÉANS A PARIS
PORTAIL D’ ENTRÉE
DK LA CHANCELLERIE DORLEANS
RUE DES BONS-ENFANTS
XII. — 4# PÉRIODE.
Si l’on consulte les ou-
vrages qui décrivent les rues
et les maisons de Paris, de
Germain Brice au marquis
de Rochegude, on demeure
surpris du peu de renseigne-
ments nouveaux qu’ont ap-
portés les écrivains venus
après le descripteur primitif.
Les textes se sont transmis
de l’un à l’autre, abrégés par-
fois, rarement augmentés,
sans être soumis à la critique,
sans recherches originales, et
pour une foule de bâtiments
nous n’en savons pas plus que
ceux qui s’en sont occupés
les premiers. L’exemple est
typique de ce portail à co-
lonnes doriques et à fronton
de Saint-Louis-en-l’Ile « élevé