JOSHUA REYNOLDS
On serait peut-être en droit de
dire que l’art anglais n’avait été
longtemps qu’un champ assez sté-
rile ensemencé par des mains étran-
gères. D’abord Holbein et Gérard
Horebout étaient venus. Puis Fé-
dérigo Zuccharo. Puis c’avait été
le tour de Van Dyck traînant à la
remorque Kneller et le chevalier
51
XXI.
On serait peut-être en droit de
dire que l’art anglais n’avait été
longtemps qu’un champ assez sté-
rile ensemencé par des mains étran-
gères. D’abord Holbein et Gérard
Horebout étaient venus. Puis Fé-
dérigo Zuccharo. Puis c’avait été
le tour de Van Dyck traînant à la
remorque Kneller et le chevalier
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XXI.